2014年中山大学639基础法语考研真题

2014年中山大学639基础法语考研真题
(总分：150.00，做题时间：180分钟)
一、完形填空(总题数：1，分数：25.00)
Depuis 1931 et l’affaire de Mandchourie, province (1) ________(devenir) de fait un protectorat japonais sous le nom de Manzhouguo (septembre 1932), le Japon n’a cessé de progresser sur le sol chinois. Début 1933, la province du Rehe fut annexée par le Manzhouguo, signe de l’influence croissante des militaristes au pouvoir à Tokyo. Mais si la SDN (2) ________(reconnaître), en février 1933, « les droits et intérêts particuliers » de l’Empire du Soleil levant sur cette
région, elle n’en (3) ________(condamner) pas moins les initiatives nippones - sans toutefois (4) ________(oser) prendre de sanctions. En signe de protestation, le Japon (5) ________(se retirer) de l’organisation intemationale au mois de mars.
De son côté, et jusqu’en 1935-1936, le gouvernement de Jiang Jieshi n’a résisté qu’assez mollement aux empiètements de son voisin oriental, (6) ________(chercher) surtout à gagner du temps pour (7) ________(préparer) un conflit qu’il (8) ________(pressentir) inévitable. I1 est vrai aussi que, dans ces affaires, les Puissances n’ont pas apporté à la Chine tout le soutien qu’elle (9) ________(être) en droit d’espérer. Mais à l’été 1936, Nankin (10) ________(changer)
d’attitude et (11) ________(opter) pour la résistance aux manœuvres nippones : «Nous ne (12) ________(conclure) aucun traité au détriment de notre intégrité territoriale, et nous ne nous (13) ________(résoudre) jamais aux actes de conquêt», (14) ________(déclarer) Jiang Jieshi. Dès lors, les conditions d’une escalade guerrière étaient réunies.
L’incident du «pont de Marco Polo», le 7 juillet 1937 non loin de Pékin, (15) ________(précipiter) le Japon dans le conflit contre la Chine, sans déclaration préalable. La puissance militaire japonaise (16) ________(se lancer), par les armes, dans l’édification d’un vaste empire continental et insulaire, dans lequel la Chine occupait une place centrale mais non exclusive. En quinze mois, les troupes japonaises accumulèrent les victoires. Dès août, Pékin et Tianjin tombaient entre leurs mains. Entre l’été et l’automne, elles (17) ________(avancer) en direction de l’ouest et du nord-ouest, vers le Suiyan et le Shanxi. Elles (18) ________(pousser) également vers le sud, (19) ________(envahir) les provinces du Henan et du Shandong. Au même moment, Jiang Jieshi (20) ________(décider) d’ouvrir un second front à Shanghai dès le mois d’août — il y avait concentré ses meilleurs soldats — le Japon (21) ________(se rendre) maître de l’Est. Après trois mois de combats acharnés, les troupes chinoises pliaient. Elles perdaient au passage 270 000 hommes, soit 60 % de leurs effectifs, et laissaient la voie libre à la soldatesoue japonaise Oueloues semaines Nankin où (22) ________(se réfugier) dans la plus grande confusion les débris des armées chinoises, (23) ________(tomber) à son tour. Du 13 au 17 décembre 1937, la ville (24) ________(aller) vivre l’un des pires cauchemars de cette guerre : quatre jours de carnage, de massacres et de viols, qui s’étendirent dans les semaines suivantes à toute la région environnante.
A cette date, un tiers des forces chinoises (25) ________(mettre) hors de combat.（分数：25）
(1).
（分数：1）
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（分数：1）
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（分数：1）
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二、完形填空(总题数：1，分数：25.00)
Nous diviserons l’Amour, (26) ________n’est autre chose que la jouissance d’une chose et l’union avec (27)
________, suivant la nature de l’objet (28) ________l’homme cherche à jouir et (29) ________il veut s’unir. Certains objets sont en (30) ________-mêmes périssables, d’autres impérissables par leur cause, un troisième est par sa propre force et sa seule puissance éternel et impérissable.
Les choses périssables sont toutes les choses particulières (31) ________n’ont pas été de tout temps, mais (32)
________ont pris commencement.
Les autres sont les modes universels que nous avons dit (33) ________étaient causes des particuliers.
Mais le troisième est Dieu, ou (34) ________nous prenons pour une seule et même chose, la Vérité.
L’amour naît donc de la représentation et de la connaissance (35) ________nous avons d’une chose et suivant que la choses se montre plus grande et magnifique, plus aussi l’amour est grand en (36) ________.
Nous avons le pouvoir de (37) ________affranchir de l’amour de deux façons : ou bien par la connaissance d’une chose meilleure, ou par l’expérience que la chose aimée, (38) ________nous tenions pour quelque chose de grand et de magnifique, apporte avec (39) ________beaucoup de suites funestes.
C’est aussi un caractère de l’amour que jamais nous ne (40) ________efforçons d’en être délivrés (comme
l’étonnement et des autres passions) et (41) ________pour deux raisons : 1. parce que cela est impossible, et 2. parce qu’il est nécessaire que nous n’en soyons pas délivrés.
Cela est impossible parce que cela ne dépend aucunement de nous, mais seulement de (42)________nous observons de bon et d’utile dans l’objet et, si (43) ________ne voulions pas l’aimer, (44) ________serait nécessaire d’abord que cet objet ne (45) ________fût pas connu, (46) ________n’est pas en notre pouvoir ou ne dépend pas de nous, attendu que, si nous ne connaissions rien, certainement nous ne serions pas.
Il est nécessaire que nous ne (47) ________soyons pas délivrés parce qu’en raison de la faiblesse de notre nature, sans quelque chose (48) ________ nous jouissions, (49) ________nous soyons unis et (50) ________nous soyons fortifiés, nous ne pourrions exister.（分数：25）
(1).
（分数：1）
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（分数：1）
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（分数：1）
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三、完形填空(总题数：1，分数：20.00)
Je me propose de montrer que, (51) ________l’ancienne Chine, (52) ________ce qui est du mariage, ou, tout au moins, de certains mariages, les choses se passaient comme si les individus se trouvaient répartis (53) ________catégories indicatives de leur destin matrimonial.
Cette théorie, qui permet seule, me semble-t-il, (54) ________interpréter aisément diverses traditions ou coutumes importantes, se ramène (55) ________une double thèse : 1.Certaines habitudes chinoises impliquent que les membres des groupes qui s’alliaient (56) ________mariage, étaient répartis en huit catégories ; 2. Les usages impliquant cette
répartition ont succédé (57) ________un système archaïque d’alliance (caractérisé par ce qu’on appelle le mariage entre « cousins croisé s», tout se passant alors comme si les membres des groupes alliés se distribuaient en quatre
catégories.
Les catégories matrimoniales de l’ancienne Chine rappellent, au moins (58) ________leur nombre, les classes matrimoniales des indigènes de l’Australie actuelle. Ceux-ci, (59) ________les tribus où se pratique le mariage entre « cousins croisés », se répartissent en quatre classes, et en huit classes (60) ________celles où ce système d’alliance est abandonné. Il est généralement admis que l’organisation en huit classes a toujours été précédée (61) ________une organisation en quatre classes.
On connaît l’intérêt que sociologues et ethnograpbes ont porté (62) ________le système australien des classes matrimoniales. La comparaison des organisations en quatre et en huit classes a servi non seulement (63)
________discuter (64) ________la liant au problème de l’exogamie) la question des formes premières de la prohibition de l’inceste (乱伦), mais encore (65) ________prendre parti (66) ________la liant au problème de l’antériorité du principe utérin (同父异母) ou du principe agnatique (男系亲属的) (67) ________la these du recrutement de la parenté commandé, (68) ________ses formes premières, par un principe unilatdral de filiation.
L’importance des questions débattues est capitale (69) ________l’histoire de la famille et du mariage, mais les faits utilisés dans la discussion risqueront d’être estimés assez minces (par ceux au moins qui se refusent (70)
________accorder aux choses australiermes une sorte de primauté) tant que le système des classes observé en Australie pourra apparaître comme une curiosité ethnographique limitée à une civilization isolée et de masse assez faible. Peut-être le débat prendrait-il plus d’intérêt si l’on devait reconnaître qu’une civilisation aussi massive que la chinoise a connu jadis des usages impliquant une répartition en catégories matrimoniales.（分数：20）
(1).
（分数：1）
__________________________________________________________________________________________ (2).
（分数：1）
__________________________________________________________________________________________ (3).
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（分数：1）
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（分数：1）
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（分数：1）
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（分数：1）
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（分数：1）
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（分数：1）
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（分数：1）
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(18).
（分数：1）
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（分数：1）
__________________________________________________________________________________________ (20).
（分数：1）
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四、翻译题(总题数：1，分数：20.00)
1.“古典时期”特指17世纪下半叶和18世纪上半叶这一特定时期。

人们之所以从19世纪开始把这一时期成为“古典时期”，是因为教师们在课堂上分析这一时期的作者，而且这些作者还被视为文学典范。

拉辛、拉封丹、莫里哀、拉布吕耶尔是古典时期的代表人物。

当然，我们还可以列举很多人，但这四位作家最常被作为代表人物所提及并作为参照，因为他们向世人呈现了一种名为“古典”的十分特殊的写作手法，其特点是内容与文体密切相关，内容的深意得益于问题的丰富性。

所谓“内容”，就是文本所表述的意思。

所谓“文本”。

就是文本进行表述的方式。

对一个古典作家而言，问题本身的丰富性和所依循规则的复杂性会使文章内容被表达得更加有力。

对他们而言，如何表述一件事比所表述的内容还要重要。

（分数：20.00）
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五、阅读理解 (总题数：1，分数：60.00)
Lisez le texte suivant et répondez aux questions :
Voici le discours de de Hubert Beuve-Méry, fondateur et directeur d’un grand quotidian français.
Si accaparés que nous soyons par le tohu-bohu du monde contemporain et si bien informés que nous puissions être ou pensions l’être par les radios et par la télévision, nous sommes encore tous, ou presque tous, des lecteurs de journaux et ces joumaux que nous avons adoptés, auxquels par conséquent nous faisons confiance, nous ne pouvons pas ne pas nous demander s’ils méritent pleinement cette confiance. Et d’abord, eux-mêmes, ces joumaux, savent-ils la vérité et, s’ils la savent, peuvent-ils la dire ou plutôt l’écrire et, s’ils le peuvent, Il veulent-ils vraiment ?
Question d’autant plus naturelle et légitime que des journallistes y ont eux-mêmes répondu négativement. Je n’en citerai qu’un parmi les plus illustres ? Dans son bloc-notes, un jour, sans doute, de mauvaise humeur, monsieur
François Mauriac n’a pas hésité à écrire ceci : «L’information est fausse par essence ; j’en suis venu à le croire. Un journaliste professionnel est un homme qui déforme les faits consciemment ou non ; la version-maison sort de lui comme d’un moule ; un journal, c’est un gaufrier. » Trop acerbes pour être tout à fait exacts, ces propos de François Mauriac devenu sur le tard, comme on sait, un redoubtable polémiste, peuvent être cependant une assez bonne introduction au problème toujours débattre de l’objectivité de t’information. Comme lui, mais en nuançant davantage, je serai tenté de dire que l’objeetivité, c’est-à-dire la parfaite conformité à l’objet, n’existe pas parce qu’elle ne pent pas exister, parce que l’objectif du photographe, lui-même, est plus ou moins trompeur suivant l’intensité de l’éclairage, la distance ou la position de l’appareil et parce que, dans l’information, les risques d’erreurs légères ou graves sont innombrables.
(Hubert Beuve-Méry, après avoir énuméré les raisons d’ordre technique, éconornique et politique, justifient sa position, poursuit :)
Pour toutes ces raisons, il paraît raisormable de préférer à la notion en quelque sorte mécanique d’objectivité, la notion morale d’honnêteté. Je sais bien que la morale est, pour une bonne part, affaire d’appréciation et que nous voici au rouet. Sans doute et il en va de même chaque fois que l’homme est en jeu. I1 ne paraît pas cependant impossible de
definer quelques règles sur quoi fonder l’honnêteté du journal ou du journaliste. D’abord, ne jamais donner cornme vrai ce que l’on sail être faux; en d’autres termes, ne jamais tromper sciemment le lecteur, ce qui implique la rectification d’erreurs toujours possibles. En second lieu, connaître assez bien son métier pour réduire au minimum le risque de se tromper ou d’etre trompé. Troisièmement, bien poser en principe que si le commentaire doit rester libre, le fait, lui, est sacré et ne doit pas être sollicité, déformé, pour les besoins de la cause. Ni déformé, ni caché Et c’est sans doute à le point le plus délicat, car il y a des silences qui sont des complicités et qui peuvent être, à la limite, de véritables crimes. « Celui qui sait la vérité et qui ne gueule pas la vérité, écrivait, ou à peu près, Péguy ( je cite de mémoire), celui-là est un traître ! »
On a longtemps discutéet on discutera longtemps encore des avantages et des inconvénients de la liberté de la presse, mais c’est au très laïc Albert Camus qui, comme François Mauriac, fut journaliste et, comme lui, prix Nobel, que nous laisserons le mot de la fin : « La presse, a-t-il écrit, lorsqu’elle est libre, peut être bonne ou mauvaise, mais, sans la liberté, elle ne sera jamais autre chose que mauvaise. Pour la presse comme pour l’homme, la liberté, c’est la chance d’être meilleur, la servitude, c’est la certitude du pire. »（分数：60）
(1).H. Beuve-Méry dit :（分数：2）
A.qu’on ne lit plus de journaux
B.qu’on se méfie des journaux
C.que les joumaux savent la vérité
D.qu’on ne se méfie pas des journaux
(2).Quels sont les médias qui ne sont pas cités par H. Beuve-Méry ?（分数：2）
radio
B.le cinéma
vidéo
presse écrite
E.l’affiche
télévision
(3).Notre époque nous fait mener une vie tumultueuse qui :（分数：2）
A.nous empêche de trouver le temps de lire le joumal
B.ne nous permet plus de nous interroger sur l’honnêteté de l’information
C.n’a pas vraiment réussi à nous détacher de la presse écrite
D.a fait de la télévision notre seule source d’information
(4).D’après ce que l’auteur vient de déclarer :（分数：2）
A.les lecteurs ne se demandent pas si leurs journanx méritent leur confiance
B.les lecteurs n’ont pas/l se demander si Ieurs joumaux m6ritent leur confiance
C.les lecteurs ne doivent passe demander si leurs journaux mdritent Ieur confiance
D.les lecteurs doivent se demander si leurs joumanx m6ritent leur confiance
(5).Pour H. Beuve-M6ry, quand les j ournalistes peuvent dire la vérité :（分数：2）
A.ils la disent toujours
B.ils ne veulent pas vraiment la dire
C.ils ne Ia disent pas
D.ils ne savent pas la dire
(6).A quel domaine F. Mauriac emprunte-t-il ses images critiques ?（分数：2）
A.Médical
C.légal
D.éducatif
(7).F. Mauriac :（分数：2）
A.a toujours cru que l’information 6tait fausse par essence
B.a toujours défendu l’idée que i’information ne pouvait pas être vraie
C.a fini par croire que l’information était dangereuse à écrire
D.a fini par croire que l’information ne pouvait pas être exacte
(8).H. Beuve-Méry juge les propos de F. Mauriac :（分数：2）
A.tout à fait objectifs
B.malheureusement faux
C.partiellement exacts
D.totalement inexacts
(9).D’après l’auteur :（分数：2）
A.le photographe est plus précis que la plume
B.l’appareil photographique est plus precis que la plume
C.les photographes eux-même sont condamnés à manquer d’objectivité
D.dans un reportage, l’objectif du photographe est d’être plus exact que le journaliste
(10).H. Beuve-Méry pense :（分数：2）
A.que l’objectif du photographe réalise une objectivité parfaite
B.que l’objectivité est la règle du journaliste
C.que l’objectivité parfaite n’existe pas
D.qu’on ne peut pas donner une définition de l’objectivité
(11).Parmi les propositions suivantes, quelle est celle qui vous paraît le plus exactement correspondre aux propos d’H. Beuve-Méry ? Le joumaliste doit :（分数：2）
A.courir le risque de se tromper
B.s’interdire de commenter les faits
C.respecter l’exactitude des faits
D.ne jamais revenir sur des informations
(12).Trouvez la réonse exacte :（分数：2）
A.l’auteur pense qu’il est impossible de définir des règles sur lesquelles fonder un joumalisme honnête
B.l’auteur estime que cela paraît possible
C.l’auteur n’estime pas que cela soit possible
D.l’auteur pense que cela ne semble pas possible
(13).Ce qui aide le journaliste à éviter de tromper son lecteur, c’est :（分数：2）
A.de bien connaître son public
B.de savoir détecter les possibilités d’erreurs
C.de savoir parfois se taire
D.d’être très sollicité
(14).Qu’est-ce que H. Beuve-Méry considère comme sacré ?（分数：2）
B.le principe
morale
D.le métier
(15).Parrni les propositions suivante, quelle est celle qui ne correspond pas à la pensée de H. Beuve-Méry ? Le joumaliste doit :（分数：2）
A.rectifier ses erreurs éventuelles
B.taire certains faits
C.être competent dans son métier
D.bien distinguer le vrai du faux
(16).En matière d’information :（分数：2）
A.l’anteur préfère un journaliste objectif à un joumaliste simplement honnête
B.l’auteur préfère un joumalisme fondé sur l’honnêteté qu’un journalisme purement mécanique
C.l’auteur préfère une position morale à une position scientifiqne
D.l’autenr rejette la notion d’objectivité au profit de celle d’honnêteté
(17).« Ne j amais donner comme vrai ce que l’on sait être faux ; en d’autres termes ne j amais tromper sciemment le lecteur, ce qui implique la rectification d’erreurs toujours possible. » Cela signifie :（分数：2）
A.corriger ses erreurs et se faire pardonner
B.ne jamais écrire le faux pour cormaître le vrai
C.être de bonne foi en toutes circonstances
D.ne j amais changer d’opinion
(18).D’après Péguy :（分数：2）
A.celui qui crie certaine vérité est un traître
B.celui qui connaît la vérité ne doit pas toujours la crier
C.celui qui est un traître ne crie pas les vérités qu’il connaît
D.celui qui connaît la vérité ne doit la dire très fort
(19).D’après l’auteur（分数：2）
A.quand la presse est iibre, elle est toujours bonne
B.quand la presse n’est pas libre, elle est toujours mauvaise
C.quand la presse est libre, elle est très souvent mauvaise
D.quand la presse n’est pas libre, elle est plus honnête
(20).Quels sont les deux points cornmuns, cités dans le texte, entre les deux écrivains français, Francois Mauriac et Albert Camus ?（分数：2）
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(21).Rédigez un court essai sur le sujet suivant ( entre 150 et 200 mots, comptez le total des mots et l’écrivez à la fin de votre essai)
Peut-on être journaliste si l’on n’a pas une cause à défendre ? et comment voyez-vous l’avenir de l’information ?（分数：20）
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