公共法语 上册 课文法汉对照 (17)
新公共法语汉译法参考复习资料(中级教程)1-16
《新公共法语》汉译法参考答案L11.我收听新闻广播。
J'éà .2.高速公路上发生了一起车祸。
s' é l'.3.事故现场发现一名死者。
a é l'.4.当时贝桑太太正在过桥,她目睹了一切。
a .5.当时下着雨,路面很滑。
é .6.事故发生是因为司机驾车失控。
L' é a ô .L21.杜邦先生有早起的习惯。
a l' tôt.2.这次我们想租一栋房子度假。
.3.我来给你们讲述事故是怎样发生的。
l' s' é.4.在以后的日子,她始终是快快乐乐的。
é .5.她母亲从客厅里叫她。
mè l' sé .6.我和她在月光下在沙滩上漫步。
.L31.7月14日,我打算去香榭丽舍大街看阅兵式。
14 dééÉé.2.看烟火要去凯旋门附近。
d' ès l' .3.我们计划去维也纳度假。
à .4.情人节,我想和男友去巴黎街头散步,这很浪漫。
' .5.我们将去艾菲尔铁塔,从那里看巴黎全景。
à là .6.我和先生去一家大饭店,庆贺我们两结婚十周年。
fê .L41.我更换了电话号码。
J' éé .2.高速列车每小时行驶260公里。
à 260 à l'.3.什么东西能引起她的兴趣呢? ' l'é?4.晚饭后,即使下雨,她也要出去走一走。
ès dî mê s' .5.他既不想喝茶也不想喝咖啡。
éé.6.圣诞节我们将组织一次旅游。
A ë .L51.我咳嗽很厉害,可能在发烧。
走遍法国17课课文翻译
第十七课在时装店Julie抓着方向盘开着车,Violaine陪着她。
Violaine:这车你父母的吗?Julie:是我妈妈的。
我爸爸不喜欢借车给别人。
Violaine:我爸爸也是。
Julie:怎么这么多人!在这里,我们根本没有地方停车。
Violaine:只要用心找,一定能找得到。
Julie:对了,这就有个。
我觉得可以进去。
Violaine:我觉得不行。
会占到人行道上。
Julie:只要我想,就一定可以。
车子停放得很糟糕。
Violaine:你不会有点超过了吗?Julie看了看。
Julie:还好啦。
别说我了。
我考驾照的时候,倒车很不错的。
Violaine:是,教练员一定是被你的美色所迷。
她们在成衣店里。
Julie和Violaine看到了放在桌上的衣服。
Julie:这个店你很熟啊?Violaine:恩。
我上学的时候常常来。
经常会发现一些好东西。
Julie:好吧,没有我想要的!Violaine:我们才进来2分钟!你知道,我有一件蓝白色的小套裙就是在这买的。
本来被埋在一堆衣服下面,但被我发现了。
Julie和Violaine看着裙子,一个销售员走了过来。
La vendeuse:需要帮忙吗,小姐?有没有什么特别想要的?Julie拿起一条裙子。
Julie:我可以试穿吗?Violaine拿起另一条裙子。
Violaine:不如试试这一件吧?感觉更好点。
Julie:不,我更喜欢这个。
那一件有点保守。
Violaine:你不就是要穿保守点嘛! François 会吃醋的,别忘了...La vendeuse:两件都可以试。
试衣间没人。
Julie:不不,我只要一件。
Julie过去试衣了。
La vendeuse:您以前经常来这,我记得你。
Violaine:对,我也记得你。
我好久没来了。
La vendeuse:你换了个发型。
Violaine:对,过去是短发,你记性真好。
Julie从试衣间走出来。
她穿着那条裙子,在照镜子。
外文翻译
@L’ESPRIT DU PEUPLE CHINOISparKOU-HOUNG MING (1856 - 1927)1915Un document produit en version numérique par Pierre Palpant,collaborateur bénévoleCourriel : ppalpant@uqac.caDans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales"dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay,professeur de sociologie au Cégep de ChicoutimiSite web : http ://classiques.uqac.ca/Une collection développée en collaboration avec la BibliothèquePaul-Émile-Boulet de l’Université du Québec à ChicoutimiSite web : http ://bibliotheque.uqac.ca/Cette édition électronique a été réalisée par Pierre Palpant, collaborateur bénévole. Courriel : ppalpant@uqac.caà partir de :L’esprit du peuple chinois,par KOU-HOUNG-MING (1856-1927)Traduction de P. RivalLibrairie Stock, Delamain et Boutelleau, Paris, 1927, 182 pages.1e édition, 1915 (“The Spirit of Chinese Civilization”)Polices de caractères utilisée : Times, 10 et 12 points.Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’.[note : un clic sur@ en tête de volume et des chapitres et en fin d’ouvrage, permet de rejoindre la table des matières.]Édition complétée le 1er mars 2006 à Chicoutimi, Québec.T A B L E D E S M A T I È R E S Préface de Guglielmo FerreroPréface de l’auteurIntroduction : La religion du bon citoyenI. L’esprit du peuple chinoisII. La femme chinoiseIII. La langue chinoiseIV. Les Anglais en ChineV. Les lettres chinoisesAppendice : L’adoration de la plèbe ou la guerre et le moyen d’en sortirPRÉFACEde GUGLIELMO FERRERO@ M. K’ou-Houng-Ming est un « Vieux-Chinois » ; c’est-à-dire un traditionaliste, un fidèle de l’ancienne Chine monarchiste et confucienne, un ennemi de l’Occident et de la civilisation occidentale. Mais ce Vieux-Chinois connaît ce qu’il déteste ; il a vécu en Europe, dont l’histoire, la littérature et les langues les plus importantes lui sont familières. C’est ce qui donne une valeur unique à ce livre d’études comparatives sur la vieille civilisation chinoise et sur la civilisation occidentale.Le lecteur constatera facilement que la connaissance de l’Occident, même en ce Chinois si érudit, présente certaines lacunes et imperfections. Parfois Kou-Houng-Ming simplifie trop en parlant de notre histoire ; quand, par exemple, il affirme qu’avec la guerre de trente ans l’Europe a voulu se débar-rasser des prêtres, qui lui coûtaient trop cher ; et qu’avec la guerre mondiale elle a voulu se débarrasser des militaires, qui lui coûtent aujourd’hui encore plus cher que les prêtres d’hier. Parfois il isole, pour les flétrir dans une atmosphère d’absolu, certains inconvénients de la civilisation occidentale sans s’apercevoir qu’ils sont le correctif de maux plus grands ; par exemple, quand il dénonce comme la cause de la guerre mondiale et de tous les troubles qui ont suivi la guerre l’adoration de la plèbe.Par cette expression pittoresque mais un peu obscure l’écrivain chinois entend la puissance de l’opinion publique et de ses courants capricieux, sur les gouvernements occidentaux. Les inconvénients qu’il dénonce sont vrais, mais encore plus grands seraient les inconvénients qui naîtraient si on réussissait à paralyser cette force invisible. Les gouvernements occidentaux disposent de tant d’argent, de tant de soldats, de moyens d’actions si puissants que, libres de ce contrôle de l’opinion publique, ils tomberaient vite en proie aux plus épouvantables délires néroniens.Mais quelle lumineuse profondeur de pensées, quelle lucide simplicité d’expression entoure et cache dans tout le livre ces petits défauts ! Était-il possible de fouiller plus profondément l’abîme de nos discordes et de nos contradictions qu’avec cette phrase : « L’Europe a une religion qui satisfait son cœur et non sa tête, et une philosophie qui satisfait sa tête et non son cœur » ? Toutes les civilisations, même les plus brillantes, ont des faiblesses ; ce sont ces faiblesses qui font décliner et à la longue mourir celles qui ne réagissent pas en luttant sans repos contre elles ; il est donc nécessaire de les connaître... Mais il est, pour une civilisation, impossible de les découvrir ens’enfermant dans sa propre contemplation, par une simple introspection qui ne soit éclairée par la comparaison d’aucun modèle différent.Ce travail semble surtout nécessaire aux deux continents où la civilisation quantitative de la grande industrie et de la démocratie a triomphé ; à l’Europe et à l’Amérique. Kou-Houng-Ming a raison de dire que ce qui trouble et agite cette civilisation est une atroce discorde entre des éléments et des forces contradictoires. Les aspirations les plus généreuses peut-être que l’esprit ait encore conçues, nous font aspirer à une amélioration infinie, matérielle et morale, de l’humanité ; l’abus de la force, l’ivresse de la puissance, l’orgueil des prodiges de la mécanique, la soif des richesses, la fureur des égoïsmes déchaînés nous plongent dans le désordre et la débauche, encouragent et répandent partout la brutalité, l’esprit de violence et d’injustice !L’avenir de l’Europe et de l’Amérique dépend de l’issue de cette lutte tragique entre le Bien et le Mal, dans laquelle les deux continents sont engagés. Les exemples et les enseignements d’une vieille civilisation qualitative, comme celle qui est sur le point de disparaître en Chine, peuvent servir à renforcer les forces du Bien dans leur tâche qui en ce moment surtout, est particulièrement difficile. C’est pourquoi je recommande la lecture de ce petit livre lumineux et profond. Il a été écrit par un Chinois qui, au fond de son âme, considère les Européens et les Américains comme des barbares ; et son esprit critique a été aiguisé encore davantage par les malheurs de son pays. Mais pour cela surtout il sera utile à une époque qui aime trop à être adulée et qui a besoin de temps en temps d’un fort révulsif moral.Florence, 15 février 1927.PRÉFACEde L’AUTEUR@ J’ai écrit ce livre pour expliquer l’esprit de la civilisation chinoise et pour en montrer la valeur. Il me semble que, lorsqu’on veut estimer la valeur d’une civilisation, on ne doit pas considérer si elle a construit ou si elle peut construire de grandes cités, de magnifiques maisons, de belles routes, si elle a su imaginer des meubles beaux et confortables, inventer des outils et des instruments utiles et ingénieux. On ne doit même pas s’attacher aux institutions, aux arts et aux sciences qu’elle a créée. Ce qu’il faut examiner avant tout, c’est le type d’humanité qu’elle a su produire, le caractère des hommes et des femmes qu’elle a formés. Seul, l’être humain, l’homme aussi bien que la femme, révèle l’essence, la personnalité, l’âme de la civilisation dont il est issu. J’ajouterai que le langage parlé par cet être humain révèle son essence, sa personnalité, son âme. C’est un fait bien connu des Français, qui aiment à répéter que « le style c’est l’homme ». J’ai donc consacré les trois premiers chapitres de ce volume à l’homme chinois, à la femme chinoise, à la langue chinoise.J’ai fait suivre ces trois chapitres de deux essais dans lesquels j’ai essayé de montrer comment et pourquoi certains étrangers, qui sont considérés comme des autorités en cette matière, ne comprennent pas exactement l’homme chinois et la langue chinoise. Le révérend Arthur Smith, qui a décrit les mœurs chinoises, ne saisit pas le véritable caractère de l’homme de mon pays. C’est que le révérend Smith est Américain, et les Américains n’ont pas assez de profondeur pour comprendre les Chinois. Le Dr Giles, qui est considéré comme un grand sinologue, n’entend pas exactement la langue chinoise ; il est Anglais et ne possède pas la pénétration philosophique nécessaire, la largeur d’esprit que donne cette pénétration. J’aurais voulu joindre à ce volume un article que j’ai écrit en 1911 à propos du livre de J. B. Bland et de Brackhouse sur la fameuse Impératrice Douairière. Mais cet article avait été publié alors dans la National Review de Changhaï, et je n’ai pas pu en retrouver le texte. J’avais essayé d’y montrer que J. B. Bland et Blackhouse ne pouvaient pas comprendre le véritable caractère de la femme chinoise, et notamment celui de l’Impératrice Douairière, qui est le type de femme le plus élevé qu’ait produit la civilisation chinoise. Des hommes comme J. B. Bland et Blackhouse ne sont pas assez simples. Ils sont trop savants et, comme tous les hommes modernes, ils ont l’intelligence déformée ; ils ont perdu la simplicité de l’esprit. Au fond, pour comprendre le Chinois et la civilisation chinoise, il faut avoir l’esprit profond, étendu et simple, car lestrois traits principaux du caractère chinois et de la civilisation chinoise sont : la profondeur, l’étendue et la simplicité.Les Américains, qu’on me permette de le dire, ne comprennent pas facilement les Chinois parce que si, dans l’ensemble, ils ont l’esprit étendu et simple, ils manquent de profondeur. Les Anglais ne peuvent pas comprendre la Chine : leur esprit est profond et simple mais il manque d’étendue. Les Allemands, eux non plus, ne peuvent pas nous comprendre car, surtout lorsqu’ils sont cultivés, ils possèdent la profondeur et l’étendue, mais n’ont pas la simplicité. Je crois que ce sont les Français qui ont le mieux compris les Chinois, qui sont le plus aptes à apprécier la civilisation chinoise 1. Les Français, il est vrai, n’ont pas la profondeur des Allemands, ni la largeur d’esprit des Américains ni la simplicité des Anglais ; mais ils ont à un degré tout à fait supérieur une qualité qui manque aux trois autres peuples que nous avons mentionnés, une qualité nécessaire avant tout pour comprendre la Chine, c’est la délicatesse. Car aux trois traits principaux de la civilisation chinoise, je dois en ajouter un quatrième, la délicatesse, qui est le plus caractéristique. Cette délicatesse, les Chinois la possèdent à un degré si éminent qu’on n’en trouve nulle part l’équivalent, excepté peut-être chez les anciens Grecs.D’après ce que j’ai dit, on peut comprendre que les Américains, s’ils étudient la civilisation chinoise, manqueront de profondeur, que les Anglais manqueront de largeur d’esprit, et les Allemands de simplicité et qu’en outre ces trois peuples manqueront d’une qualité qu’ils ne possèdent pas à un degré éminent : la délicatesse. Quant aux Français, ils manqueront tout à la fois de profondeur, de largeur d’esprit et de simplicité ; ils manqueront même d’une certaine délicatesse d’un ordre encore supérieur à celle qu’ils possèdent actuellement. Aussi, je suis amené à penser que l’étude de la civilisation et de la littérature chinoises sera certainement profitable à tous les peuples d’Europe et d’Amérique.J’ai fait entrer dans ce volume un article sur les études chinoises, un plan d’études que je traçai pour moi-même, à mon retour d’Europe, il y a exactement trente ans de cela, lorsque je commençai à appliquer mon esprit à la civilisation de mon pays. J’espère qu’il pourra être utile à tous ceux qui voudront étudier le Chinois et la civilisation chinoise.Enfin, on trouvera à la fin du volume un article sur « La guerre et le moyen d’en sortir ». Je sais combien il est dangereux d’entrer dans le champ des luttes politiques ; j’ai pourtant écrit cet article afin de prouver la valeur de la civilisation chinoise. J’ai voulu montrer comment l’étude de cette civilisation peut aider le monde à résoudre le problème devant lequel il se 1 Le meilleur livre écrit par un Européen sur l’esprit de la civilisation chinoise est La cité chinoise, de G. Eug. Simon, qui a été autrefois consul de France en Chine. C’est de ce livre que le Professeur Lowes Dickinson de Cambridge, comme il me l’a dit lui-même, tira l’idée de ses fameuses Letters from John Chinaman.trouve, problème qui est celui du salut de la civilisation européenne menacée de faillite. Je veux montrer que l’étude de la littérature chinoise n’est pas seulement un amusement pour les sinologues.Dans cet article, j’ai essayé d’indiquer les causes morales qui ont amené le conflit, car, tant que ces causes morales ne seront pas connues et écartées, il ne faut pas espérer trouver un moyen de finir la guerre. Ces causes morales sont l’adoration de la plèbe en Angleterre et l’adoration de la force en Allemagne. J’ai beaucoup plus insisté sur l’adoration de la plèbe en Angleterre que sur l’adoration de la force en Allemagne. C’est que, si j’examine la question d’une manière impartiale, il m’apparaît que c’est l’adoration de la plèbe en Angleterre qui est la cause de l’adoration de la force en Allemagne. En fait, c’est l’adoration de la plèbe dans toutes les nations européennes, et particulièrement en Angleterre, qui a créé ce militarisme allemand que, maintenant, chacun déteste et dénonce.Qu’on me permette de dire avant tout que c’est la fibre morale de la nation allemande, son amour intense de la justice, sa haine de toute injustice et de tout désordre (Unzucht und Unordnung) qui amènent le peuple allemand à croire en la force et à l’adorer. Tous les hommes qui aiment ardemment la justice, qui haïssent l’injustice, sont portés à croire en la force et à l’adorer. L’Écossais Carlyle, par exemple, croyait en la force et l’adorait. Pourquoi ? Parce que Carlyle, qui avait en lui la fibre morale allemande, haïssait intensément l’injustice. Or, si je dis que l’adoration de la plèbe en Angleterre est la cause de l’adoration de la force en Allemagne, c’est parce que la fibre morale, la haine intense de l’injustice et du désordre amènent la nation allemande à haïr la plèbe, l’adoration de la plèbe et les adorateurs anglais de la plèbe. Le jour où la nation allemande a vu comment la plèbe, l’adoration de la plèbe et les politiciens anglais adorateurs de la plèbe faisaient la guerre du Transvaal, sa haine instinctive de la plèbe 1, de l’adoration de la plèbe et des adorateurs anglais de la plèbe lui a fait accepter de lourds sacrifices ; et la nation allemande a consenti à se réduire toute entière à la famine pour créer une flotte,dans l’espoir d’abattre la plèbe, l’adoration de la plèbe et les adorateurs anglais de la plèbe. La nation allemande, on peut bien le dire, se trouvait entourée de tous les côtés par la plèbe, l’adoration de la plèbe et les adorateurs de la plèbe, encouragés par l’Angleterre dans toute l’Europe. Ceci amena l’Allemagne à croire en la force comme au seul moyen de salut de l’humanité. C’est cette adoration allemande de la force, créée par la haine de la religion anglaise de la plèbe, qui a créé ce monstrueux militarisme allemand qu’aujourd’hui chacun déleste et dénonce.En conséquence si l’Angleterre, les nations européennes et l’Amérique veulent abattre le militarisme allemand, elles doivent d’abord s’efforcer 1 Le fameux télégramme de l’Empereur d’Allemagne au Président Krüger fut le cri instinctif d’indignation de la véritable âme germanique à la puissante fibre morale, contre Joseph Chamberlain et la classe des Cockneys d’Angleterre qui faisaient la guerre du Transvaal.d’abattre chez elles l’adoration de la plèbe 1. A tous les peuples de l’Amérique, et aussi de la Chine et du Japon, qui parlent aujourd’hui de liberté et demandent la liberté, j’oserai répondre que le seul moyen d’obtenir la liberté, la vraie liberté, est de bien se conduire, d’apprendre à se conduire décemment. Rappelez-vous la Chine avant la Révolution. Il y avait plus de liberté parmi les Chinois : pas de prêtre, pas de policier, pas d’impôt municipal, pas d’impôt sur le revenu pour les molester. Il y avait plus de liberté que chez tous les autres peuples de la terre. Et pourquoi ? Parce que, avant cette Révolution, les Chinois savaient se conduire eux-mêmes ; ils savaient se conduire en bons citoyens. Mais aujourd’hui nous avons moins de liberté en Chine. Et pourquoi ? Parce que les Chinois modernes, qui ont coupé leur natte, les Chinois dernier cri, les étudiants qui ont vécu en Occident, ont appris des peuples d’Europe et d’Amérique et de la plèbe européenne de Changhaï à se mal conduire, à se conduire non plus comme de bons citoyens, mais comme une plèbe, une plèbe encouragée, flattée et adorée par les diplo-mates anglais et par l’Inspecteur général des Douanes de Pékin qui est, lui aussi, Anglais 2. Ce que je veux dire ici, c’est que si les peuples de l’Europe continentale et le peuple d’Angleterre veulent abattre le militarisme allemand, le militarisme prussien, ils doivent maintenir l’ordre dans la plèbe de leurs propres pays ; ils doivent faire que cette plèbe se conduise d’une manière convenable ; ils doivent abattre la religion de la plèbe et les adorateurs de la plèbe.Cependant, maintenant que j’ai dit que le peuple anglais est le principal auteur responsable de l’adoration de la force en Allemagne, je dois reconnaître que, si j’examine à nouveau cette question, il m’apparaît que la responsabilité directe de cette guerre pèse plus lourdement sur le peuple allemand, sur la nation allemande que sur toute autre nation.Pour faire bien comprendre ceci, il faut avant tout que je fasse l’histoire du militarisme allemand en Europe. Après la Réforme et la Guerre de Trente ans, les nations germaniques, les peuples de race germanique, avec leur fibre morale, avec leur amour de la justice et leur haine de l’injustice et du 1 Confucius disait à un de ses disciples : « Lorsque les nations étrangères sont mécontentes de vous, vous devez cultiver les vertus civiques et civiles ». L’aristocratie britannique, cependant, comme l’aristocratie mandchoue en Chine, est maintenant sans défense contre la plèbe et les adorateurs anglais de la plèbe. Mais il est tout à l’honneur de cette aristocratie qu’aucun de ses membres, au cours de catte guerre, ne se soit joint aux hurlements de la plèbe.2 Pour montrer à quel point les étudiants chinois revenus d’Occident sont devenus une plèbe, je rappellerai ici que, l’an dernier, certains de ces étudiants écrivirent des lettres à la Peking Gazette, journal dirigé par un savant Chinois « Babu » du nom d’Eugène Chen, menaçant ouvertement d’organiser une attaque publique contre moi parce que j’avais critiqué la nouvelle femme chinoise dans mon article sur « la femme chinoise ». Ce savant Chinois « Babu » Eugène Chen, l’instigateur de ces désordres, est un membre respecté du Comité du Bureau de l’amitié anglo-chinoise placé sous le patronage du ministre d’Angleterre et de l’inspecteur général des Douanes chinoises.désordre, le peuple allemand, tenant le militarisme comme un glaive dans sa main, devint le gardien loyal de la civilisation en Europe. En d’autres termes, la charge de maintenir l’ordre (Zucht und Ordnung) en Europe, l’hégémonie morale de l’Europe fut dévolue au peuple allemand. Après la Réforme, Frédéric le Grand, comme Cromwell en Angleterre, dut se servir du glaive du militarisme allemand pour faire régner l’ordre en Europe, et il réussit dans l’Europe du Nord. Examinons maintenant ce qui se passa après. Son successeur ne sut pas se servir de ce glaive pour maintenir et pour protéger la civilisation de l’Europe. Il se montra incapable de garder l’hégémonie morale. Le résultat fut que l’Europe entière, et même les cours de l’Allemagne, devinrent un puits insondable d’abominations que couvrait à peine l’apparence de la civilisation ; si bien qu’à la fin, les populations souffrantes, les hommes et les femmes simples de France se soulevèrent, la pique en main, pour protester contre ces abominations. Ces rebelles devinrent bientôt une plèbe, et cette plèbe trouva enfin un grand et habile chef Napoléon Bonaparte 1, qui les emmena piller, massacrer et ravager toute l’Europe jusqu’à ce que les nations européennes, se ralliant autour du petit noyau du solide militarisme allemand persistant en Europe, mirent fin dans les champs de Waterloo à la carrière du grand conducteur de la plèbe. Après cela, l’hégémonie morale de l’Europe aurait dû revenir au peuple de race germanique, aux Prussiens, l’épine dorsale des nations germaines. Mais la jalousie des autres races qui formaient l’Empire d’Autriche sut l’en empêcher. Le résultat fut, la nation allemande étant affaiblie, qu’en 1818 la plèbe se sou-leva furieusement pour briser la civilisation de l’Europe. Puis la nation allemande — l’épine dorsale des nations germaniques, les Prussiens avec leur fibre morale et le glaive du militarisme allemand — sauva de la plèbe l’Europe, la monarchie (Bismarck l’appelait la dynastie), et la civilisation européenne.Les Autrichiens — les autres peuples formant l’Empire d’Autriche, — redevinrent jaloux et ne voulurent pas permettre à la nation allemande, à la Prusse, de prendre l’hégémonie morale jusqu’à ce qu’en 1866 le roi de Prusse Guillaume, Bismarck et Moltke eussent abattu par la force la jalousie autri-chienne pour se saisir de l’hégémonie. Après l’Autriche, Louis-Napoléon qui n’était pas, comme son glorieux oncle, un chef, mais un escroc de la plèbe ou encore, comme dit Emerson, un voleur heureux, essaya, soutenu par la plèbe de Paris, de disputer l’hégémonie de l’Europe à la nation allemande et de détruire cette hégémonie. En conséquence, l’Empereur Guillaume, tenant dans sa main le glaive acéré du militarisme allemand, dut marcher sur Sedan et abattre le pauvre voleur heureux et l’escroc de la plèbe. Les gens simples de Paris qui avaient mis leur confiance dans cet homme, virent leurs maisons saccagées et brûlées, non par le militarisme allemand, non par les Allemands 1 Emerson, avec une grande pénétration de vue, a dit : « Ce qui envoya Napoléon à Sainte-Hélène, ce ne fut pas d’avoir perdu des batailles, mais l’ambition du parvenu, l’ambition vulgaire d’épouser une véritable princesse, de fonder une dynastie. »et Prussiens, mais par la plèbe même en laquelle, ils avaient mis leur confiance. Après 1872, l’hégémonie politique, aussi bien que morale, de l’Europe passa enfin à la nation allemande et, grâce à la fibre morale de la nation allemande, et au glaive du militarisme allemand, l’Europe, depuis 1872, a joui de la paix pendant 43 ans. Les gens qui injurient et dénoncent le militarisme allemand et le militarisme prussien devraient se rappeler tout ce que l’Europe doit à ce militarisme.Si j’ai pris la peine de résumer ainsi l’histoire du militarisme allemand en Europe, c’est pour montrer au peuple allemand que je n’ai aucun préjugé contre lui en disant ce que je vais dire et en montrant que la responsabilité directe de cette guerre pèse sur lui, et sur la nation allemande, plus lourdement que sur toute autre nation. Et pourquoi ? Parce que pouvoir signifie responsabilité1.Je dis que c’est l’amour de la justice, la haine de l’injustice et du désordre qui amènent le peuple allemand à croire à la force et à l’adresse. Je veux dire aussi que cette haine de l’injustice et du désordre, lorsqu’elle devient trop ardente, lorsqu’elle est portée à l’excès, devient elle-même une injustice, une effroyable et terrible injustice, quelque chose de plus mauvais que le désordre même. C’est cette haine excessive de l’injustice, cette haine intense, étroite, dure et rigide qui amena jadis aux excès le peuple hébreu, ce peuple hébreu à qui le peuple d’Europe doit sa connaissance et son amour de la justice ; et c’est de cette haine excessive, étroite, dure, rigide de l’injustice que Jésus-Christ vint sauver son peuple.Le Christ, avec ce que Matthew Arnold appelle sa douce et ineffable raison, dit à son propre peuple : « Écoutez mes paroles, car je suis doux et humble et la paix règnera dans vos âmes ». Mais les Juifs ses compatriotes refusèrent de l’écouter. Ils le crucifièrent, et la nation juive périt. Aux Romains qui étaient les gardiens de la civilisation en Europe, le Christ disait : « Ceux qui se serviront de l’épée périront par l’épée 2 ». Mais les Romains ne l’écoutèrent pas ; ils permirent aux Juifs de le crucifier, l’Empire romain, la vieille civilisation européenne périrent et passèrent. Goethe a écrit : « Quelle longue route les hommes ont dû parcourir avant d’apprendre à agir noblement même envers les pécheurs, à être miséricordieux envers ceux qui violent la loi, à être humains même envers les inhumains. Véritablement, c’étaient des hommes d’une nature divine qui enseignèrent ces vérités les premiers et qui donnèrent leur vie pour qu’elles pussent se réaliser et pour hâter le moment où elles passeraient dans la vie pratique.1 Confucius a dit : « La possession du pouvoir sans la douceur et la générosité est une chose que je n’ai jamais pu supporter de voir ». Shakespeare a dit : « Oh ! il est glorieux d’avoir la force d’un géant. Mais il est tyrannique d’en user comme un géant ».2 C’est-à-dire, tous ceux qui mettent uniquement leur foi dans la force matérielle brute ou, comme dit Emerson, qui pratiquent l’adoration vulgaire du fusil.。
公共法语(原版)上册课后翻译题
36课-听说那里要建居民小区。
-建居民小区,那可不是一件容易的事。
-是呀,这是个宏大的计划。
占地200公顷,要造一些8层的居民楼,还要造购物中心、体育场、学校、公园和医院。
-还要有道路和公交网点。
35课1.我家里,是我父亲做晚饭。
2.这个地区的居民每年都在增加。
3.有了联合收割机,只需要一个农业工人就可以帮助我婶婶割麦子、打麦子。
4.有了电脑,任何计算都变得方便而且迅速。
5.昨天我上他家去,但是他不愿意接待我。
34课1.客店老板给他端上半只烤鸡。
这时,他的胃口好极了。
“您以后会经常提及这只菜的。
”客店老板十分得意地说。
2.喝了一瓶香槟酒后,我感到头昏脑胀,很想睡觉。
酒产生作用了。
3.姑娘毫无惧色地走近敌人。
4.他似乎觉得这个趣闻并没有多大意思。
5.他从口袋里取出表一看,发觉电影快开场了,于是,他加快步子朝市中心走去。
33课1.我参观了这个省以后,体会到在该省所有城市的近郊,农业都非常发达。
我发现蔬菜的种类很多。
2.如果您有机会到那个地区去走走,您将会发现每条河边都种着这种树。
3.我建议你到农村去度假;我想,今年夏天海边会有不少人的。
4.我的朋友雅克在伦敦逗留了几天,他跑遍了这座美丽而古老的城市。
5.- 你好像病了,该去看看医生。
- 我牙痛,没关系。
如果我去看牙科医生,他就要把牙齿拔掉。
那可痛啦!32课1.- 又见到您,我真高兴。
抽烟吗?- 不,我不抽烟。
2.使我大为吃惊的是,我们的法语老师竟不认识一个英语单词。
3.我唯一的愿望是让我的孩子们认识生活。
4.你可以想象,当他得知这条消息时,将多么惊讶。
5.母亲走出厨房,手里拿着一块精美的蛋糕:“孩子们,上桌来吃吧!”31课1.你跟邻居的关系好吗?你是不是跟人有纠葛?2.他老是埋怨他家里人,因为他总想要家里人给他些东西。
3.索菲从口袋里拿出一张纸交给我;我打开纸,只见上面写着:不要怨天尤人;去请教你的朋友马丁学生。
4.我听见妈妈在跟哥哥说:“天快下雨了,把自行车推进来。
公共法语课文全文
公共法语课文全文公共法语课文Leçon 1TEXTESQui est-ce ? ——C’est Philippe.Il est l’ami de Fanny.Qui est-ce ? ——C’est Fanny.Elle est l’amie de Philippe.C’est Fanny ? ——Non, c’est Alice. C’est Philippe ? ——Non, c’est Yves.VOCABULAIREQui est-ce ? Who is he/she?C’est this/that/it is…il heest isami boy friendde ofelle sheamie girl friendnon noPARLEZ FRANÇAIS Ça va ? All right ?Oui, ça va. Yes, all right.参考译文第一课I这是谁?——这是菲利普。
他是法妮的男朋友。
这是谁?——这是法妮。
她是菲利普的女朋友。
II这是法妮吗?——不,这是阿丽斯。
这是菲利普吗?——不,这是伊夫。
Leçon 2TEXTESQu’est-ce que c’est ? ——C’est une chaise.C’est une valise.C’est une image.C’est une cassette.——Ce sont des chaises. Ce sont des valises.Ce sont des images.Ce sont des cassettes.——C’est un musée. C’est un ly cée.C’est un cinéma.C’est un gymnase.——Ce sont des musées. Ce sont des lycées.Ce sont des cinémas. Ce sont des gymnases.VOCABULAIREune achaise chairvalise traveling case image picture cassette cassettece sont these/those aredes someun amusée museumlycée school (in France)cinéma cinemagymnase gymnasiumPARLEZ FRANÇAISAsseyez-vous, s’il vous plaît. ——Sit down, please.Merci, monsieur. ——Thank you, sir.Du café ou du thé ? ——Coffee or tea? Du café, s’il vous plaît. ——Coffee, please.参考译文第2课I这是什么?——这是一把椅子。
法语1课文和翻译
121. La chambre 205205 号房间(Xiao ZHANG rencontre un jeune homme au premier étage)小张在二楼遇见一个年轻的小伙子。
ZHANG: Pardon, Monsieur, la chambre 205, s'il vous plaît?张:对不起,先生,请问205房间在哪儿?Jeune homme: C'est au fond du couloir, la deuxième porte à gauche.年轻人:在走廊止境,左侧第二道门。
Zhang: Merci, Monsieur.张:谢谢,先生。
J. H: De rien.年轻人:不客气。
2. La chambre de LI Ming李明的房间(Xiao ZHANG frappe à la porte de la chambre 205)小张敲响205房间的门。
铛铛当...-Il y a quelqu'un?-有人吗?-Oui, entrez, s'il vous plaît.-有,请进。
-Bonjour, cher ami.-你好,亲爱的朋友。
-Ah, c'est toi, Xiao ZHANG! Bonjour. Comment ça va?-啊,是你啊,小张!你好,怎么样?-Très bien, merci. Et toi?-专门好。
你呢?-Comme tu vois! Assieds-toi!-如你所见,挺好。
请坐。
-Tu n'habites pas seul, je pense?-我看你不是一个人住吧?-Non, j'habite avec LIU, un camarade de classe.-不,我和刘住一路,他是我班上的同窗。
新公共法语初级10课—16课的课文翻译
11,A在书报亭——你好,先生。
劳驾买份报纸。
——你要什么报纸,小姐?——我到巴黎才两天,还不熟悉报纸的名称。
——我们有日报。
比如费加罗报,队报,人道报,也有一些晚报:法兰西晚报,世界报,十字架报。
——星期天有日报吗?——没有,不过星期天有周报;也有文学报、科技报和月刊。
——谢谢,先生。
那份是什么报纸?——法兰西晚报。
——好,我买那份报纸,也买一份《巴黎透视》,多少钱?——法兰西晚报,0.9欧元,《巴黎透视》、0.4欧元。
——喏,给您。
——您没有零钱吗?——很抱歉,没有,我只有一张20欧元。
B美丽的日出图在一幅现代派油画前。
“这幅油画,真美!多美的色彩!这位画家,多么有才华!的确,这是一幅非常美丽的日出图。
”“我不这样认为,先生。
我认识这位画家,他不到中午十二点时从不起床的。
依我看,这倒是一幅日落图!”12A两个秘书——你知道这件事吗?经理要离开一个星期。
——太棒了!我们可以安心了……——哎!是呀,替他干这活,他从未满意过。
不过,你有办法对付他。
当你走进他的办公室时,他好像非常高兴,——他想找个晚上带我看戏。
——那可要答应呀!——我呢,我更喜欢和让.路易去跳舞。
——那个看门人?——他舞跳得好,这你知道。
——哎!……他又不挣一点钱。
——他爱我。
——那么,副经理怎么办?他总是说:“我很不幸,埃莱娜不愿意做我的妻子,怎么办?”——做他的妻子?副经理的妻子?可他不会跳舞呀!——嗨!跟你跳舞,他会很快学会的,而且很容易学会,亲爱的!爱情是一位好老师嘛!B关于烈酒危害的讲座讲座期间,报告人要了一杯牛奶。
有人在牛奶里倒了点威士忌。
于是,报告人说:“啊!味道好极了!多好的奶牛!”13A合理饮食,十分重要!假期里在海滨浴场,你想健美却超重几公斤怎么办?以下是博松大夫对《健康》杂志的建议。
——博松大夫,确切地说,我们可以吃些什么?——你们可以吃些诸如鱼,白肉,绿叶蔬菜,水果,鸡蛋等。
——鸡蛋可以吃吗?——可以的,但须注意,每周吃两个鸡蛋,仅仅两个!——我们能喝些什么?只能喝水吗?——不,不仅仅是水!水当然要喝,但也可以喝茶或咖啡。
走遍法国_reflets课文1-24课中文翻译
走遍法国 reflets课文全部中文翻译第一课新房客巴黎第9区,Cardinal-Mercier大街。
一位年轻人走进了一幢房屋并按响了门铃。
Julie: 您好!deLatour: 小姐您好!Julie: 先生,您是deLatour: 我叫Pierre-HenrideLatour。
Benoît: 幸会幸会。
我,我是BenoîtRoyer。
deLatour: 很荣幸见到你,Royer先生。
走进了(房间)。
Julie和Benoît坐在客厅里。
Benoît: 您是学生吗,deLatour先生是的,我是学生。
您呢,Royer先生,您的职业是什么Benoît: 我是一家旅行社的职员。
啊,您是旅行代理……这该多有意思呀……Julie和Benoît看了看对方。
JulieetBenoît: 再见,DeLatour先生。
一个年轻人,ThierryMercier,对Julie说。
: 你的姓是什么Julie: 我的姓: 对呀,你叫什么Julie: Prévost. 反正……我的名字是Julie,我的姓是Prévost.: 你是学生吗Julie: 不是,您呢……呃……你呢: 我,我是实习生。
Julie: 实习生。
: 嗯,是的。
ThierryMercier 指Benoît。
: 他,是谁Julie: 他,他是BenoîtRoyer。
Benoît: 是的,BenoîtRoyer就是我。
我是法国人。
我是旅行代理,我住Cardinal-Mercier大街4 号在这。
这里是我家。
现在呢,再见!Benoît 把ThierryMercier送到门口。
Benoît和Julie坐在客厅。
我们看到了四个青年男女,一个年轻女人带着一只狗,一个剃着光头的青年,一个拿着杂志的年轻女人和一个举着磁带录音机的小伙子。
公共法语 上册 课文法汉对照 (10)
Leçon 10TEXTE I L'HOTEL PARISIEN巴黎的旅馆L'hôtel parisien est-il différent de l'hôtel londonien? Peut-être. . .巴黎的旅馆不同于伦敦的旅馆。
也许…L'hôtel parisien est vieux, c'est vrai. Mais il y a de nombreux hôtels modernes.巴黎的旅馆老,这是事实。
但有许多现代化的旅馆。
L'hôtel parisien n'est-il pas confortable? Si, il est très confortable.巴黎的旅馆不舒适吗?不,它很舒适。
Mais ils sont tout de même différents; par exemple,不过两者还是有区别的。
比如,le living-room de l'hôtel anglais n'est jamais très grand, mais les chambres sont grandes.英国旅馆的起居室从来就不大,但卧室很大。
L'hôtel français ressemble à la maison française.而法国的旅馆则像法国的住宅。
Mais le matin , on peut avoir un grand plaisir: le petit déjeuner est délicieux.不过,人们在早晨可以享有一个很大的乐趣:早餐美味可口。
Il est simple, mais le pain est très bon.它很简单,可面包很好吃。
新大学法语教材文本及翻译
一.Bonjour, madame.您好,夫人。
Bonjour, monsieur. Comment allez-vous?您好,先生。
您好吗?Très bien, merci. Et vous?很好,谢谢,您呢?Moi aussi, merci.我也很好,谢谢。
Salut, Fanny.你好,法妮。
Salut, Yves.你好,伊夫。
Comment çava?你好吗?Ça va bien, merci. Et toi?很好,谢谢。
你呢?Moi, ça va. (…) Tiens! Qui est-ce?我(也)很好……呦,这是谁?C’est ma sœur, Emma.这是我妹妹,艾玛。
Bonjour, Emma.你好,艾玛。
Bonjour, Yves.你好,伊夫。
Bonjour, Jacques.你好,雅克。
Bonjour, Eric.你好,埃里克。
Je te présente madame Durant. Elle est ingénieur.给你介绍一下,(这是)杜朗夫人。
她是工程师。
Enchanté. Je m’appelle Jacques Rivière. Je suis professeur.很高兴(认识你)。
我叫雅克•里维埃。
我是教师。
Enchantée, monsieur Rivière.很高兴(认识你),里维埃先生。
Alice, c’esttoi?Salut!阿丽丝,是你啊?你好。
Salut, Jean. Tiens! Qui est-ce?你好,让。
呦,这是谁?C'est ma sœur我妹妹。
Quel est son nom?她叫什么名字?Son nom est Marie.Elle va à l’école...她叫玛丽,她上学了Elle va à l’école.她(去)上学。
新公共法语汉译法参考答案(中级教程)1-16
《新公共法语》汉译法参考答案L11. 我收听新闻广播。
J' e coute les nouvelles a la radio.2. 高速公路上发生了一起车祸。
Un accident s'est pass e sur I'autoroute.3. 事故现场发现一名死者。
On a trouv e un mort sur les lieux de l'accide nt.4. 当时贝桑太太正在过桥,她目睹了一切。
Mme Bess on traversait alors le pont ,et elle a tout vu.5. 当时下着雨,路面很滑。
Il pleuvait,et la route e ait glissante.6. 事故发生是因为司机驾车失控。
L'arrident est arriv e parce que le chauffeur a perdu le contr?le de sa directi on.L21. 杜邦先生有早起的习惯。
Mon sieur Dupo nt a l'habitude de se lever t?t.2. 这次我们想租一栋房子度假。
Cette fois ,nous voulons louer une mais on pour les vaca nces .3. 我来给你们讲述事故是怎样发生的。
Ja vais vous rac on ter comme nt l'accide nt s'est pass e4. 在以后的日子,她始终是快快乐乐的。
Les jours suiva nts ,elle S ait toujours gaie.5. 她母亲从客厅里叫她。
Sa mEe l'appelle de la salle du s ej our .6. 我和她在月光下在沙滩上漫步。
Je fais avec elle une prome nade sur la plage au clair de lune.1文档来源为:从网络收集整理.word版本可编辑.L31.7月14日,我打算去香榭丽舍大街看阅兵式。
法语课课后句子翻译
只说不做的运动员un sportif en chambre登山faire de l’alpinisme , faire de l’escalade从事体育活动patiquer un sport, faire du sport有时间做某事avoir le temps de faire qch.沿……而下descendre...野餐pique-niquer (un pique-nique)征服不可能的事conquérir l’impossible实现梦想réaliser un rêve美丽如画的风景un paysage pittoresque跨越极限aller au-delà des limites居高临下dominer原始的自然景色une nature sauvage, un paysage de nature sauvage在异国他乡生活vivre à l’étranger梦想做某事rêver de faire qch.恢复学业retourner à l’école, recommancer les études想入非非rêver12. Le thème.1) 你明天晚上看电视转播的足球赛吗?电视上足球赛多的是。
明晚我去看电影(春天的地铁),晚上八点的那场,一块儿去吧?– Tu verras le foot à la télé demain soir ?– Le foot à la télé, ?a ne manque pas.Demain soir, j’irai voir Le Métro du printemps au cinéma, c’est la séance de vingt heures, on y va ensemble ?2) 如果明天有空的话,我们全都去颐和园的昆明湖划船。
简明法语教程 上册11-16课课文翻译[整理版]
简明法语教程上册11-16课课文翻译[整理版] 第11课(一个中国学生和一个外国人说话)——请问,这张法语报纸是你的吗,——是的,它是我的。
——你是法国人吗,——是的,我是法国人。
我来到这为了学习中文。
——你是巴黎人吗,——不是,我是马赛人。
它在法国的南部。
——你们班上有来自其他国家的学生吗? ——有,有英国的,朝鲜的,意大利的和日本的。
——哦~这是一个国际性的班级。
——确实如此,但是大家都说中文。
——你们经常写中文吗,——经常。
但是中文字太难写了。
(中文字)像图画。
texte保罗来自巴黎。
他在北京外国语大学学习中文。
他学习努力并且每天都听录音。
保罗有一些中国朋友。
他们经常邀请保罗去他们家。
他们也在中文学习上帮助保罗。
现在,保罗中文说的很好。
他喜欢中文,中国和中国人。
他想成为中国的朋友。
第12课(在一栋老楼里,马丁先生向看门人询问) 马丁:早上好女士,杜瓦尔先生是住在这里吧, 看门人:是的,先生。
M:请问在哪一层,C:在四楼。
M:电梯在哪里,C:这栋楼里没有电梯。
走楼梯吧,在那。
我要拿信件。
如果你愿意,你可以跟着我。
M:很乐意。
M:您在这里工作很久了吧,C:是的,已经有十年了。
M:您丈夫呢,他做什么工作,C:我丈夫不工作了,他退休了。
M:他帮忙吗,C:有时会。
但是这个工作也不繁重,并且房客都对我很友好。
Texte勒哥航女士是位看门人。
她62岁了。
她在巴黎一栋大楼里工作了20年。
勒哥航女士很喜欢她的工作并且房客对她很友好。
她丈夫68岁了。
他退休3年了。
他经常帮她妻子做家务。
勒哥航夫妇有两个孩子:一个儿子一个女儿。
他们的儿子是雷诺公司的工人,他们的女儿在巴黎的一家大银行工作。
每周日,他们都来看他们的父母。
13课(贝纳何和安玛丽想租一套房子。
他们看报纸上的小广告)一套出租的单元房4间屋子,厨房,浴室,电话。
民族广场。
马丁办事处。
电话:01-43-25-24-08 A:这个离你的办公室很近。
B:是的,但是租金没有标明。
新公共法语初级10课—16课的课文翻译word版本
11,A在书报亭——你好,先生。
劳驾买份报纸。
——你要什么报纸,小姐?——我到巴黎才两天,还不熟悉报纸的名称。
——我们有日报。
比如费加罗报,队报,人道报,也有一些晚报:法兰西晚报,世界报,十字架报。
——星期天有日报吗?——没有,不过星期天有周报;也有文学报、科技报和月刊。
——谢谢,先生。
那份是什么报纸?——法兰西晚报。
——好,我买那份报纸,也买一份《巴黎透视》,多少钱?——法兰西晚报,0.9欧元,《巴黎透视》、0.4欧元。
——喏,给您。
——您没有零钱吗?——很抱歉,没有,我只有一张20欧元。
B美丽的日出图在一幅现代派油画前。
“这幅油画,真美!多美的色彩!这位画家,多么有才华!的确,这是一幅非常美丽的日出图。
”“我不这样认为,先生。
我认识这位画家,他不到中午十二点时从不起床的。
依我看,这倒是一幅日落图!”12A两个秘书——你知道这件事吗?经理要离开一个星期。
——太棒了!我们可以安心了……——哎!是呀,替他干这活,他从未满意过。
不过,你有办法对付他。
当你走进他的办公室时,他好像非常高兴,——他想找个晚上带我看戏。
——那可要答应呀!——我呢,我更喜欢和让.路易去跳舞。
——那个看门人?——他舞跳得好,这你知道。
——哎!……他又不挣一点钱。
——他爱我。
——那么,副经理怎么办?他总是说:“我很不幸,埃莱娜不愿意做我的妻子,怎么办?”——做他的妻子?副经理的妻子?可他不会跳舞呀!——嗨!跟你跳舞,他会很快学会的,而且很容易学会,亲爱的!爱情是一位好老师嘛!B关于烈酒危害的讲座讲座期间,报告人要了一杯牛奶。
有人在牛奶里倒了点威士忌。
于是,报告人说:“啊!味道好极了!多好的奶牛!”13A合理饮食,十分重要!假期里在海滨浴场,你想健美却超重几公斤怎么办?以下是博松大夫对《健康》杂志的建议。
——博松大夫,确切地说,我们可以吃些什么?——你们可以吃些诸如鱼,白肉,绿叶蔬菜,水果,鸡蛋等。
——鸡蛋可以吃吗?——可以的,但须注意,每周吃两个鸡蛋,仅仅两个!——我们能喝些什么?只能喝水吗?——不,不仅仅是水!水当然要喝,但也可以喝茶或咖啡。
法语课文翻译
Leçon 15周日的早晨通常来说,您周日的早晨都做什么呢?En ge n e r al, qu’est-ce que vous faites le dimanche matin?1. 周日早晨?我首先去走走,然后我和我朋友一起踢足球或者打网球。
然后下午,我休息。
Le dimanche matin? Je faite d’abord en footing, ensuite je joue au foot ou au tennis avec des amies. Et l’apre s midi, je me repose.2. 我,先去超市买东西。
我妻子照顾小孩,陪他们玩耍。
或者呢,我们就出门。
我们经常去乡村远足。
Moi, je faite fais les courses. Et ma femme pre p are les enfants, et elle joue avec eux. Ou alors, on par part pour la journe e, et on va souvent a la campgany campagne.3. 周日早晨,我做家务;之后,我洗澡穿衣服。
之后,我听音乐,我看书,或者我写信给我朋友。
Le dimanche matin, je faite fais les me n ages le me n age; apre s, je me lave et je m’habille. Ensuite, j’e c ude j’e c oute de la musique, je lis ou j’e c ris a a des amies. 4. 我,每个周六晚上,我去夜店,然后我早晨大约5点或6点回来。
当然,我,每个周日,都睡觉!然后中午起床。
Moi, touts tous les samedi samedis soirs, je vais en boî t e, et je rentre ver 5 ou 6 heure s. Alors, moi, le dimanche matin, je dors! Et je me le v e a midi.5. 啊!我妻子和我,我们大约9点吃早中餐。
新公共法语初级 17课课文讲解
imaginer j’imagine nous imaginons tu imagines vous imaginez
il suit
ils suivent
il imagine ils imaginent
acheter
1.购买,买 acheter un jouet à un enfant 给孩子买玩具 vendre 卖,出售 Il va vendre sa voiture àson voisin. 他要将他的车卖给他的邻居。 2.收买,行贿 acheter des témoins 收买证人
LEÇON 17
Texte A Tous àla campagne Texte B Une histoire drô le
武爽
Texte A VOCABULAIRE
acheter v.t. 买,购物 attendre v.t. 等待 suivre v.t. 跟随 la mode 时尚,时髦 la pollution 污染 assez adv. 足够地,相当地 assez de 足够 的 les espaces verts m. 绿地 et puis而且,此外 bruyant,e a.吵闹的,喧闹的 é couter v.t.听,听从 l’avantage m. 好处 le bar 酒吧,酒吧吧台 la boî 盒,箱;夜总会 te ouvrir v.t. 打开 imaginer v.t. 想象
drôle
1滑稽的, 有趣的, 好笑的 2奇特的, 古怪的
-Non,ce n'est pas drôle du tout.
不,一点也不好玩。
aussitôt
adv. 立刻, 立即
aussitôt que loc. conj. [连词短语]刚一…就…, 一旦…就…
公共法语 上册 课文法汉对照 (7)
Leçon 7I. Oùallez-vous ?你到哪里去?Bonjour, Pierre.你好,皮埃尔。
Bonjour, Marie. Comment ça va ?你好,玛丽。
你好吗?Ça va bien, merci. Et toi ?很好,谢谢。
你呢?Moi aussi, merci. Tu as cours aujour d’hui ?我也很好,谢谢。
今天你有课吗?Oui, j’ai deux heures de français. Oùvas-tu maintenant ?有的,我有两节法语课。
你现在到哪里去?Je vais àla salle de lecture.我到阅览室去。
Moi, je vais en classe. A bientôt.我呀,我去教室上课。
回头见。
A bientôt.回头见。
II. Ma famille我的家庭Je vous présente ma famille :我向您介绍我的家庭:Voilàmon père. Il s’appelle Olivier Delon. Il est Français. Il a quarante-six ans.这是我的父亲,他叫奥利维埃*德隆。
他是法国人,今年46岁。
Il est professeur d’université. Voilàma mère. Elle s’appelle Yvonne Delon.他是大学教师。
这是我的母亲,她叫伊冯娜*德隆。
Elle est Française. Elle a quarante-deux ans. Elle est médecin. Voilàma sœur.她是法国人,今年42岁。
法语1修订本-1到18课课文翻译
法语1修订本-1到18课课文翻译Leçon 1 Bonjour 译文对话1——你好,安娜。
——你好!帕斯卡尔。
怎么样?——挺好……你呢?——我吗,还好。
对话2——安娜,这(位)是谁?——这(位)是米歇尔。
——那她是谁呀?——是娜塔莉。
——是娜塔莉•拉米吗?——是的,是她!课文这位是法妮。
她是服装设计师。
她在尼斯。
那位是菲利普。
他是艺术家。
他在里尔。
Leçon 2 chez un ami 三、译文第二课在朋友家对话1(在门口)咚......咚......咚......勒马:谁呀?安娜:你猜猜!勒马:是不是法妮啊?安娜:劳驾,是我,安娜!勒马:呵!你好!安娜!。
安娜:你好!勒马。
你好吗?勒马:好啊,你呢?安娜:挺好,谢谢。
勒马:进来!......那这个包是什么?安娜:给你的。
是件衬衣。
勒马:衬衣?给我的?太好了!谢谢,安娜。
对话2(在勒马家)安娜:这是什么,勒马?勒马:是个手提箱。
安娜:手提箱?是你的手提箱吗?勒马:对,是我的手提箱。
安娜:是你的手提箱?可你要去哪里呀?勒马:我吗?......你猜猜看!Leçon 3 Présentations第三课:自我介绍马克:你好!塞西尔。
塞西尔:呵!是你呀,马克。
你好!马克:给你介绍一下我的朋友,夏尔。
夏尔:十分荣幸,小姐。
我叫夏尔。
塞西尔:很荣幸,先生。
我的名字叫塞西尔。
马克:夏尔是大学生,在图卢兹上学。
塞西尔:你们这是去哪儿?马克:我们去游泳池。
那你呢,你到哪儿去?塞西尔:我去趟书店。
对话2(塞西尔和阿莱在街上)塞西尔:你好!阿莱,怎么样?阿莱:很好,你怎么样啊,塞西尔?塞西尔:我很好,谢谢。
但你这带着手提箱是去哪儿啊?阿莱:我和朋友去火车站。
塞西尔:去火车站?可你去火车站干嘛?阿莱:我去巴黎,该开学了。
塞西尔:那她呢?是谁呀?阿莱:她叫安妮•迪富尔。
塞西尔:她去哪里?也去巴黎吗?阿莱:不,她去图尔。
她在那里上学。
公共法语 下册 课文法汉对照 (17)
Leçon 53I LA PREMIERE DAME DE LA HAUTE COUTURE高级时装的第一夫人« Mademoiselle Chanel » a eu une enfance et une jeunesse difficiles.“夏奈尔小姐”的童年和青年都是苦难的。
Orpheline très jeune, elle a passéde nombreuses années dans un couvent àMoulins, une petite ville du centre de la France.她很早成了孤儿,在法国中部一座小城市穆兰的一个修道院里度过了好几个春秋。
En fait, elle n’a connu Paris qu’àvingt-cinq ans, en 1908 ! 1908年她25岁那年才认识巴黎!C’est àpartir de 1911 qu’elle a commencéàcréer des chapeaux pour les vendre àdes amies从1911年起,她开始自己制作帽子卖给认识的女友。
et c’est en 1912 qu’elle a ouvert sa première maison de couture àDeauville, la grande plage mondaine. 1912年在那座社会名流出入的海滨城市多维尔,第一次开设了时装店。
Mais la guerre de 1914 a vite arrêtéses activités et ce n’est qu’en 1919 qu’elle a pu enfin ouvrir une maison de couture àParis, rue Cambon.1914年的战争很快中断了她的买卖;直到1919年,她才在巴黎的冈蓬路上开了一家时装店。
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Leçon 17
TEXTE I LE TOUR DE FRANCE环法自行车大赛
Aimez-vous les courses? Je ne veux pas parler des courses dans les magasins, naturellement!
您喜欢观看courses吗?当然,我不是指商店里的购物,
mais des courses de chevaux, des courses àpied et surtout des courses de bicyclettes.
而是指赛马、赛跑,尤其是自行车赛。
Les Français aiment beaucoup les courses de bicyclettes, et il y a en France, en été, une très grande course populaire appelée «le Tour de France».
法国人很喜欢自行车赛,每年夏天,在法国有一项规模盛大的比赛,称之《环法自行车大赛》。
Les coureurs se rencontrent à cette occasion et ils font à bicyclette le tour de la France:
车手们借此机会相会在一起,他们骑车环绕法国:
3 000 km en un mois, et aussi un «petit tour»en Allemagne, en Espagne ou en Belgique.
一个月内骑3000公里,并且在德国、西班牙或比利时兜上“一小圈”。
Bien sûr, c'est une course très longue et très dure, et il faut être très courageux pour arriver jusqu'au bout! 当然,这是一场十分漫长又很艰苦的车赛,必须要有很大的勇气才能骑到终点!
On part de Paris le 15 juin et arrive à Paris le 14 juillet.
6月15日从巴黎出发,7月14日返回巴黎。
Tous les jours les coureurs roulent entre 150 et 200 km, en plaine ou en montagne, sous le soleil ou sous la pluie. 每天,在平原上或山区里,不管日晒还是雨淋,赛车运动员都要骑150-200公里。
A Bordeaux, à Marseille, à Lyon, partout où ils passent, c'est la fête. 在波尔多、马赛、里昂,他们所经之处,一派节日气氛。
Il y a des gens dans les rues, au bord des routes pour voir les coureurs et leur donner du courage.
人们在马路边、公路旁观看赛车运动员,给他们加油鼓劲。
«Allez-y», «bravo», ces cris s'entendent partout. Mais les coureurs ne pensent qu'à aller plus vite pour arriver avant les autres ... “快呀”、“加油”,这些叫喊声到处可以听见。
但车手们只想着骑得更快些,赶在他人之前到达……
TEXTE II UNE HISTOIRE DRÔLE笑话一则
Madame Leblanc vient d'acheter, pour ses deux jumeaux, des vêtements identiques.
勒布朗太太刚替她的双胞胎买了同样的衣服。
Les deux enfants les mettent aussitôt Madame Leblanc demande à la vendeuse:
两个孩子随即穿在身上。
勒布朗太太问营业员:
Il y a un miroir pour se regarder?
“有没有镜子让他们照一照?”
Pourquoi un miroir Madame? répond la vendeuse. Ils n'ont qu'à se regarder l'un l'autre.
“为什么需要镜子,太太?”营业员回答说,“他们只要相互看
一看就行了。
”
Dialogue
On sort ce soir ?
Tu sais, moi, ce soir, je préfère rester àla maison. Je vais regarder le match de foot àla télévision.
Quel sportif ! Tu aimes tout : le football, le rugby, le volley, le tennis…Tout ! mais…àla télévision…et dans un bon fauteuil…Spertif en chambre, quoi !
Tu exagères un peu…Tu oublies le ski. Je fais du ski, moi !
Oui, c’est vrai…Tu en fais beaucoup…Huit jours par an !
Alors, nous restons ici ?…Je vais reprendre mon livre. Heureusement pour moi, il y a la lecture.
…et le tricot !。