Giono-arbres
费尔南多利马的歌曲
费尔南多利马的歌曲
费尔南多利马是一位巴西音乐人,他以其丰富多样的音乐风格
而闻名。
他的音乐涵盖了许多不同的风格,包括波普音乐、摇滚乐、拉丁音乐和雷鬼音乐。
他的歌曲以其充满活力的节奏和深情的歌词
而备受喜爱。
费尔南多利马的代表作之一是《La Cucaracha》,这首歌曲融
合了拉丁音乐和摇滚乐的元素,节奏明快、充满活力。
这首歌曲在
全球范围内都获得了巨大的成功,成为费尔南多利马音乐生涯中的
经典之作。
另外,他的歌曲《Ginga》也备受瞩目,这首歌曲展现了他对巴
西音乐传统的尊重和创新。
他巧妙地融合了传统的巴西音乐元素,
创造出了充满活力和魅力的音乐作品。
除此之外,费尔南多利马还有许多其他优秀的歌曲,每一首都
展现了他丰富的音乐才华和对不同音乐风格的驾驭能力。
无论是他
的个人专辑还是合作作品,都展现了他作为音乐人的多样魅力。
总的来说,费尔南多利马的歌曲以其丰富的音乐风格、深情的
歌词和充满活力的节奏而著称,他的音乐作品在全球范围内备受喜爱,并对当代音乐产生了深远的影响。
巴塞罗那英文介绍
巴塞罗那英文介绍Barcelona has a fascinating history that dates back over2,000 years. The city was founded by the Romans in the 1st century BC, and remnants of their presence can still be seen today, such as the famous Roman walls that surround the historic Gothic Quarter. Over the centuries, Barcelona has beeninfluenced by various cultures, including Visigoths, Moors, and Christians, which has contributed to its unique blend of architectural styles and cultural traditions.One of the most iconic landmarks in Barcelona is the Sagrada Familia, a massive basilica designed by the renowned architect Antoni Gaudí. Construction on the basilica began in 1882 and is still ongoing, making it one of the longest-running construction projects in the world. The Sagrada Familia is known for its intricate facade, towering spires, and stunning stained glass windows, and attracts millions of visitors each year.In addition to the Sagrada Familia, Gaudí's influence can be seen throughout Barcelona. The Park Güell, Casa Milà, an d Casa Batlló are just a few examples of his architectural masterpieces. These buildings showcase Gaudí's distinctive style,characterized by organic shapes, vibrant colors, and unique design elements. Exploring these architectural wonders is like stepping into a fairytale world.Apart from its architectural treasures, Barcelona is also famous for its vibrant cultural scene. The city is home to numerous art galleries, museums, and theaters that showcase works by both local and international artists. The Picasso Museum, dedicated to the renowned Spanish artist, is a must-visit for art enthusiasts. The Museum of Contemporary Art and the Joan Miró Foundation are also worth exploring.Barcelona is also known for its lively street life, with countless cafes, restaurants, and bars scattered throughout the city. The Gothic Quarter, located in the heart of Barcelona, is a maze of narrow streets and charming squares filled with outdoor terraces where locals and tourists alike gather to enjoy a drink or a meal. The city's culinary scene is diverse and offers something for every taste, from traditional Spanish tapas to international cuisine.Another highlight of Barcelona is its beautiful beaches. The city has several sandy stretches along its coast, including Barceloneta Beach, which is easily accessible from the city center. These beaches offer a perfect place to relax, soak up the sun, and take a dip in the Mediterranean Sea. The waterfront area is also filled with trendy beach bars, restaurants, and nightclubs, making it a popular spot for both day and night activities.。
法语翻译原文
L’homme qui plantait des arbresJean GionoÀ partir de 1920, je ne suis jamais resté plus d’un an sans rendre visite à Elzéard Bouffier. Je ne l’ai jamais vu fléchir ni douter. Et pourtant, Dieu sait si Dieu même y pousse ! Je n’ai pas fait le compte de ses déboires. On imagine bien cependant que, pour une réussite semblable, il a fallu vaincre l’adversité ; que, pour assurer la victoire d’une telle passion, il a fallu lutter avec le désespoir. Il avait, pendant un an, planté plus de dix mille érables. Ils moururent tous. L’an d’après, il abandonna les érables pour reprendre les hêtres qui réussirent encore mieux que les chênes.Pour avoir une idée à peu près exacte de ce caractère exceptionnel, il ne faut pas oublier qu’il s’exerçait dans une solitude totale ; si totale que, vers la fin de sa vie, il avait perdu l’habitude de parler. Ou, peut-être, n’en voyait-il pas la nécessité ?En 1933, il reçut la visite d’un garde forestier éberlué. Ce fonctionnaire lui intima l’ordre de ne pas faire de feux dehors, de peur de mettre en danger la croissance de cette forêt naturelle. C’était la première fois, lui dit cet homme naïf, qu’on voyait une forêt pousser toute seule. À cette époque, il allait planter des hêtres à douze kilomètres de sa maison. Pour s’éviter le trajet d’aller-retour - car il avait alors soixante-quinze ans - il envisageait de construire une cabane de pierre sur les lieux mêmes de ses plantations. Ce qu’il fit l’année d’après.En 1935, une véritable délégation administrative vint examiner la forêt naturelle. Il y avait un grand personnage des Eaux et Forêts, un député, des techniciens. On prononça beaucoup de paroles inutiles. On décida de faire quelque chose et, heureusement, on ne fit rien, sinon la seule chose utile : mettre la forêt sous la sauvegarde de l’État et interdire qu’on vienne y charbonner. Car il était impossible de n’être pas subjuguépar la beautéde ces jeunes arbres en pleine santé. Et elle exerça son pouvoir de séduction sur le député lui-même.J’avais un ami parmi les capitaines forestiers qui était de la délégation. J e lui expliquai le mystère. Un jour de la semaine d’après, nous allâmes tous les deux à la recherche d’Elzéard Bouffier. Nous le trouvâmes en plein travail, à vingt kilomètres de l’endroit où avait eu lieu l’inspection.Ce capitaine forestier n’était pas mon ami pour rien. Il connaissait la valeur des choses. Il sut rester silencieux. J’offris les quelques œufs que j’avais apportés en présent. Nous partageâmes notre casse-croûte en trois et quelques heures passèrent dans la contemplation muette du paysage.Le côté d’où nous venions était couvert d’arbres de six à sept mètres de haut. Je me souvenais de l’aspect du pays en 1913 : le désert... Le travail paisible et régulier, l’air vif des hauteurs, la frugalité et surtout la sérénité de l’âme avaient donné à ce vieillard une santé presque solennelle. C’était un athlète de Dieu. Je me demandais combien d’hectares il allait encore couvrir d’arbres ?Avant de partir, mon ami fit simplement une brève suggestion àpropos de certaines essences auxquelles le terra in d’ici paraissait devoir convenir. Il n’insista pas. « Pour la bonne raison, me dit-il après, que ce bonhomme en sait plus que moi. » Au bout d’une heure de marche - l’idée ayant fait son chemin en lui - il ajouta : « Il en sait beaucoup plus que tout le monde. Il a trouvé un fameux moyen d’être heureux ! »C’est grâce à ce capitaine que, non seulement la forêt, mais le bonheur de cet homme furent protégés. Il fit nommer trois gardes forestiers pour cette protection et il les terrorisa de telle façon qu’i ls restèrent insensibles à tous les pots-de-vin que les bûcherons pouvaient proposer.L’œuvre ne courut un risque grave que pendant la guerre de 1939. Les automobiles marchant alors au gazogène, on n’avait jamais assez de bois. On commença à faire des cou pes dans les chênes de 1910, mais ces quartiers sont si loin de tous réseaux routiers que l’entreprise se révéla très mauvaise au pointde vue financier. On l’abandonna. Le berger n’avait rien vu. Il était à trente kilomètres de là, continuant paisiblement sa besogne, ignorant la guerre de 39 comme il avait ignoré la guerre de 14.J’ai vu Elzéard Bouffier pour la dernière fois en 1945. Il avait alors quatre-vingt-sept ans. J’avais donc repris la route du désert, mais maintenant, malgré le délabrement dans lequel la guerre avait laissé le pays, il y avait un car qui faisait le service entre la vallée de la Durance et la montagne. Je mis sur le compte de ce moyen de transport relativement rapide le fait que je ne reconnaissais plus les lieux de mes premières promenades. Il me semblait aussi que l’itinéraire me faisait passer par des endroits nouveaux. J’eus besoin d’un nom de village pour conclure que j’étais bien cependant dans cette région jadis en ruine et désolée. Le car me débarqua à Vergons. En 1913, ce hameau de dix à douze maisons avait trois habitants. Ils étaient sauvages, se détestaient, vivaient de chasses au piège : à peu près dans l’état physique et moral des hommes de la Préhistoire. Les orties dévoraient autour d’eux les maisons abandonnées. Leu r condition était sans espoir. Il ne s’agissait pour eux que d’attendre la mort : situation qui ne prédispose guère aux vertus.Tout était changé. L’air lui-même. Au lieu des bourrasques sèches et brutales qui m’accueillaient jadis, soufflait une brise so uple chargée d’odeurs. Un bruit semblable à celui de l’eau venait des hauteurs : c’était celui du vent dans les forêts. Enfin, chose plus étonnante, j’entendis le vrai bruit de l’eau coulant dans un bassin. Je vis qu’on avait fait une fontaine, qu’elle éta it abondante, et, ce qui me toucha le plus, on avait planté près d’elle un tilleul qui pouvait déjà avoir dans les quatre ans, déjà avoir dans les quatre ans, déjà gras, symbole incontestable d’une résurrection.Par ailleurs, Vergons portait les traces d’un travail pour l’entreprise duquel l’espoir est nécessaire. L’espoir était donc revenu. On avait déblayé les ruines, abattu les pans de murs délabrés et reconstruit cinq maisons. Le hameau comptait désormais vingt-huit habitants dont quatre jeunes ménages. Les maisons neuves, crépies de frais, étaient entourées de jardins potagers où poussaient, mélangés mais alignés, les légumes et les fleurs, les choux et les rosiers, les poireaux et les gueules-de-loup, les céleris et les anémones. C’était désormais un endroit où l’on avait envie d’habiter.À partir de là je fis mon chemin à pied. La guerre dont nous sortions à peine n’avait pas permis l’épanouissement complet de la vie, mais Lazare était hors du tombeau. Sur les flancs abaissés de la montagne, je voyais de petits champs d’orge et de seigle en herbe ; au fond des étroites vallées, quelques prairies verdissaient.Il n’a fallu que les huit ans qui nous séparent de cette époque pour que tout le pays resplendisse de santé et d’aisance. Sur l’emplacement des ruines que j’avais vues en 1913, s’élèvent maintenant des fermes propres, bien crépies, qui dénotent une vie heureuse et confortable. Les vieilles sources, alimentées par les pluies et les neiges que retiennent les forêts, se sont remises àcouler. On en a canalisé les eaux. À côté de chaque ferme, dans des bosquets d’érables, les bassins des fontaines débordent sur des tapis de menthes fraîches. Les villages se sont reconstruits peu à peu. Une population venue des plaines où la terre se vend cher s’est fixée dans le pays, y apportant de la jeunesse, du mouvement, de l’esprit d’aventure. On rencontre dans les chemins des hommes et des femmes bien nourris, des garçons et des filles qui savent rire et ont repris goût aux fêtes campagnardes. Si on compte l’ancienne population, méconnaissable depuis qu’elle vit avec douceur et les nouveaux venus, plus de dix mille personnes doivent leur bonheur à Elzéard Bouffier.Quand je réfléchis qu’un homme seul, réduit à ses simples ressources physiques et morales, a suffi pour faire surgir du désert ce pays de Chanaan, je trouve que, malgré tout, la condition humaine est admirable. Mais, quand je fais le compte de tout ce qu’il a fallu de constance dans la grandeur d’âme et d’acharnement dans la générosité pour obtenir ce résultat, je suis pris d’un immense respect pour cevieux paysan sans culture qui a su mener à bien cette œuvre digne de Dieu. (Elzéard Bouffier est mort paisiblement en 1947 à l’hospice de Banon.)。
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埃尔迪诺·特雷夫斯·阿什比的2016年埃迪诺·特雷夫斯·阿什比说明书
Château Chantalouette - PomerolChâteau Chantalouette is the second wine of Château de Sales. Owned by the same familyfor over five centuries, the 116 acre estate is the largest in the appellation and boasts the onlytrue castle of Pomerol.Certified of «High Environmental Value» (HVE) since 2020, Château Chantalouettepractices virtuous viticulture that integrates and develops biodiversity. The viticultural approach is traditional:the vineyard is ploughed regularly and cultivated with respect for the environment; cover cropping and green harvest are practised with great care.The grapes are harvested by hand at optimal maturity of each bloc. 2016 CHÂTEAU CHANTALOUETTE 2nd wine of Château de SalesAppellation: Pomerol Owner: GFA Château de Sales President:Marine Treppoz GM: Vincent Montigaud Winemaker: Frédéric Laborde Vineyard size:116 acres Average vine age:25 years Soil Types: Small gravel and iron-rich loess Vineyard grape varietals: 70% Merlot - 15% Cabernet Franc - 15% Cabernet Sauvignon Viticulture:Certified «HVE» «Culture raisonnée» Soil tilling (4 ways). Vine growth management adapted to the climatic conditions Harvest: Manual Winemaking: In thermo-regulated concrete vats Ageing: Partly in barrelHARVEST DATES: The harvest took place between 27 September and 14 October in radiant sunshine, with cool nights.2016 VARIETAL MIX:• 72 % Merlot• 11 % Cabernet Franc• 11 % Cabernet SauvignonVINTAGE REPORT:2016 was an exceptional year, marked byradical changes in weather patterns: wetand cool weather from January to June wasfollowed by a summer heatwave and drought,some more-than-welcome rain in earlySeptember, then sunshine, hot days and coolnights from mid-September until the end ofthe harvest. A cool and very damp springfollowed a wet winter. Three-quarters of theyear’s rain fell between January and June,replenishing the groundwater. Flowering started at the end of May, later than usual, and was extended and rather uneven.Temperatures jumped 10° C in late June as summer set in, with virtually no more rain until mid-September. It was hot andvery dry, with a period of drought between 24 June and 12 September; 15mm of rain fell in August.Veraison occurred late and slowly, favoured by fine late-season weather; mid-veraison took place between 8 and 18 Au-gust. September was also hot but rain on 13 and 14 September set off the ripening process, enabling the grapes to matureslowly and gently in ideal conditions.MATURING: 1/3 in oak barrels 2/3 in vatsTASTING NOTES: The wine is red with purple highlights. The intense nose reveals red berry aromas, delicately comple-mented by spice and vanilla notes. A very supple attack leads into a well-balanced and complex mid-palate on fresh redfruit flavours, especially cherry. Notes of spice and cocoa appear with airing, sustained by velvety, well-integrated tannins,ushering in a long and harmonious finish.。
意大利葡萄种类
Rosso ——红葡萄品种Aglianico 艾格尼科Aleatico 埃丽提科Ancellotta 安塞罗塔Avana 阿瓦娜Avareng 埃瓦兰格Barbera 巴贝拉Bombino nero 黑博比诺Bonarda 伯纳达Bonarda di Gattinara 加逖娜拉伯纳达Bonarda novarese 诺瓦拉伯纳达Bonarda piemontese 皮埃蒙特伯纳达Bovale 伯威尔Bovale grande 大伯威尔Bovale sardo 撒丁伯威尔Brachetto 巴彻托Brugnola 巴诺拉Cabernet 卡本内Cabernet Franc 品丽珠Cabernet Sauvignon 赤霞珠Cagnulari 卡纽拉里Calabrese 卡拉贝丝Cannonau 卡诺纽Carignano 卡瑞纳罗Carmenere 卡蒙乃Canaiolo 卡内奥洛Castiglione 卡斯蒂戈隆Castiglione 卡斯蒂戈隆Cesanese comune 普通塞森斯Chiavennasca 查万纳斯卡Ciliegiolo 塞立吉洛Colorino 柯勒瑞诺Corinto nero 黑柯林托Corvina Veronese 维诺纳科维纳Croatina 科罗蒂娜Dolcetto 多塞托Doux d’Henry 亨利多斯Durello 达莱洛Favorita 绯弗丽塔Fortana 弗泰娜Franconia 弗兰克尼雅Frappato 弗莱帕托Frappato di Vittoria 维多利亚弗莱帕托Freis 弗莱西娅Fumin 福民Gaglioppo 佳琉璞Gamay 佳美Giró吉偌Grechetto rosso 红格莱切托Greco nero 黑格来克Grignolino 吉诺林诺Groppello Gentile 吉格罗派洛Groppello Mocasina 莫格罗派洛Grosso nero 黑大Incrocio Manzoni 2.15 杂交曼佐尼2.15 Incrocio Terzi n.1 杂交特泽尔1号Lacrima 泪珠Lagrein 拉格林Lambrusco 莱布鲁斯科Lambrusco a foglia frastagliata 弗斯格丽塔Lambrusco di Sorbara 索巴拉Lambrusco Grasparossa 格斯伯索拉Lambrusco Maestri 米丝蒂Lambrusco Marani 玛兰妮Lambrusco Montericco 蒙特瑞科Lambrusco Salamino 萨拉米诺Magliocco 麦格罗科Malbech 玛贝奇Malbo Gentile 吉泰玛波Malvasia di Casorzo 卡索佐玛尔维萨Malvasia di Schierano 切兰诺玛尔维萨Malvasia nera 黑玛尔维萨Malvasia nera di Brindisi 布林的西黑玛尔维萨Malvasia nera di Lecce 莱切黑玛尔维萨Marsigliana nera 黑玛塞恩Marzemino 玛泽米诺Merlot 美乐Molinara 莫琳娜Monica 莫尼卡Montepulciano 蒙帕塞诺Montonico bianco 白蒙托尼科Moscato di Scanzo 斯坎佐莫斯卡托Moscato nero 黑莫斯卡托Nebbiolo 内比奥洛Negrara 尼加亚Negrara Trentina 特兰托尼加亚Negroamaro 黑苦Nerello cappuccio 修士奈莱洛Nerello mantellato 曼泰莱托奈莱洛Nerello mascalese 玛斯卡斯奈莱洛Neretto 奈莱托Nero buono di Cori 科里黑好Nero d'Avola 黑阿沃拉Neyret 奈拉特Nocera 诺塞拉Ottavianello 奥塔维内洛Pascale 帕斯凯尔Notar Domenico 多米尼科诺塔Pelaverga piccolo 小派勒维佳Perricone 派瑞科恩Petit rouge 小红Piedirosso 红脚Pignatello 比耐泰洛Pignola valtellinese 皮诺拉瓦泰林斯Pignolo 匹格诺洛Pinot grigio 灰比诺Pinot nero 黑比诺Portoghese 葡萄牙美人Premetta 普莱麦塔Primitivo 普米蒂沃Quagliano 科吉兰诺Raboso Piave 帕吾热伯索Raboso veronese 维罗纳热伯索Rebo 莱博Refosco 莱弗斯科Refosco dal peduncolo rosso 红梗莱弗斯科Refosco nostrano 本地莱弗斯科Rondinella 罗蒂内拉Rossanella 罗桑内拉Rossese 罗塞斯Rossetto 罗塞托Rossignola 罗西诺拉Rossola 罗索拉Ruché拉彻Sagrantino 塞格兰蒂诺Sangiovese 桑娇维塞Sangiovese di Romagna 罗马涅桑娇维塞Sangiovese di Toscana 托斯卡纳桑娇维塞Schiava 斯查瓦Schiava gentile 吉斯查瓦Schiava grigia 灰斯查瓦Schiava grossa 大斯查瓦Schioppettino 斯奇派蒂诺Sciascinoso 萨西诺索Sgavetta 萨维塔Sirah 西哈Spanna 斯潘娜Sussumaniello 萨萨曼尼洛Syrah 西拉Tazzelenghe 泰泽兰Terolde go泰若迭戈Terrano 泰兰诺Tocai rosso 红托凯Torbato 桃巴托Traminer 琼瑶浆Uva Rara 拉雅葡萄Vespolina 维斯伯诺拉Vien de Nus 纳斯维Bianco ——白葡萄品种Albana 阿巴娜Albarola 阿巴罗拉Ansonica 安索妮卡Ansonica bianca 白安索妮卡Arneis 阿涅丝Asprinio 阿斯品诺Bellone 贝隆Bervedino 波万迪诺Biancane 贝肯Bianchello 贝查洛Bianchetta genovese 热那亚巴切塔Bianchetta trevigiana 特雷维佐巴切塔Bianco d’Alessano 白阿丽桑诺Biancolella 莱拉白Blanc de Morgex 白莫吉克斯Bombino bianco 白博比诺Bonvino 伯维诺Boschera 伯斯查拉Bosco 博斯科Brunello 巴内洛Canaiolo 卡内奥洛Canaiolo bianco 白卡内奥洛Carricante 卡里坎特Catarratto 卡塔拉托Catarratto bianco 白卡塔拉托Catarratto bianco lucido 闪亮白卡塔拉托Cesanese 塞森斯Chardonnay 霞多丽Clairette 克莱瑞特Coda di volpe 狐狸尾Cortese 科蒂斯Damaschino 达玛奇诺Durella 达莱拉Erbaluce 厄拜柳丝Falanghina 法兰弗娜Fiano 菲安诺Forastera 弗拉斯塔Francavidda 弗兰卡维达Garganega 加格奈拉Gavorita 嘎格内加Grecanico 盖凯妮科Grechetto 格莱切托Greco 格来克Greco bianco 白格来克Greco di Tufo 托福格来克Grillo 蟋蟀Guardavalle 瓜达维尔Guarnaccia 加纳查Guarnaccia bianca 白加纳查Impigno 艾姆皮歌Incrocio Manzoni 6.0.13 杂交曼佐尼6.0.13 Inzolia 英佐雅Kerner 柯内尔Maceratino 玛可兰蒂诺Malvasia 玛尔维萨Malvasia bianca 白玛尔维萨Malvasia bianca di Candia 坎蒂亚白玛尔维萨Malvasia bianca lunga 长白玛尔维萨Malvasia bianca Toscana 托斯卡纳白玛尔维萨Malvasia del Chianti 弛安筹玛尔维萨Malvasia del Lazio 拉齐奥玛尔维萨Malvasia delle Lipari 里帕瑞玛尔维萨Malvasia di Candia 坎蒂亚玛尔维萨Malvasia di Candia aromatica 坎蒂亚香玛尔维萨Malvasia di Sardegna 萨丁玛尔维萨Malvasia istriana 伊斯的利亚玛尔维萨Malvasia Toscana 托斯卡纳玛尔维萨Marsanne 玛塞恩Montonico 蒙托尼科Montú蒙图Moscato 莫斯卡托Moscato bianco 白莫斯卡托Moscato giallo 黄莫斯卡托Moscato rosa 玫瑰莫斯卡托Mostosa 莫斯托萨Muller Thurgau 米勒吐尔高Nasco 纳斯科Nosiola 诺西奥拉Nuragus 纳莱加斯Ortru go奥图戈Passerina 帕斯琳娜Pecorino 派科琳诺Pelaverga 派勒维佳Petit Arvine 小阿维Picolit 皮科里特Pigato 毕加图Pignoletto 匹诺莱托Pinella 匹奈拉Pinot 比诺Pinot bianco 白比诺Prosecco 普罗塞科Ribolla gialla 黄瑞伯拉Riesling 雷司令Riesling bianco 白雷司令Riesling Italico 意大利雷司令Riesling renano 莱茵河雷司令Rucheé拉彻Sauvignon 索味浓Schiava gentile 吉斯查瓦Semidano 塞米丹诺Sylvaner 西万尼Sylvaner verde 绿西万尼Tocai friulano 弗留利托凯Tocai Italico 意大利托凯Trebbiano 棠比内洛Trebbiano di Lugana 卢加那棠比内洛Trebbiano di Soave 索阿维棠比内洛Trebbiano giallo 黄棠比内洛Trebbiano romagnolo 罗马涅棠比内洛Trebbiano toscano 托斯卡纳棠比内洛Ughetta 尤艾他Uva di Troia 托雅葡萄Veltliner 瓦蒂琳娜Verdeca 维戴卡Verdello 维代洛Verdicchio 维蒂奇诺Verdiso 维蒂索Verduzzo friulano 弗留利维多佐Vermentino 维蒙蒂诺Vernaccia 维奈西卡Vernaccia di Oristano 奥利斯塔诺维奈西卡Vernaccia di S. Gimignano 圣吉米奈洛维奈西卡Vernaccia di Serrapetrona 塞拉普特纳维奈西卡Vernaccia nera 黑维奈西卡Vespaiola 维斯派诺拉Zibibbo 泽比波。
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INODOROS Y MUEBLES DE BAÑO El presente certificado cubre cualquier defecto de fabricación del producto que pueda afectar su desempeño y en cumplimiento de lo establecido en el manual de instalación, uso y mantenimiento.CENTRO CERAMICO LAS FLORES SAC, certifica la garantía de los sanitarios de la marca Origin, Golden Bath, Bravat, Trébol Platinum y Noken según las siguientes condiciones: presentación del documento de venta, factura o boleta (original o virtual).2.Si presenta defectos de fabricación del producto y no por fallas que se presenten como consecuencia de lainadecuada instalación, reparación, uso o un mal mantenimiento. Garantía sólo cubre el valor del componente a cambiar, si fuese necesario se hará cambio total del producto, no cubre mano de obra traslado, ni otros gastos por remover o instalar productos.4.En caso se reportara alguna deficiencia del sanitario o mueble, comunicarse con el área de Servicio Técnico de CENTRO CERAMICO LAS FLORES SAC quien verificará a fin de establecer la idoneidad y calidad del producto. Garantía no contempla rajaduras ni roturas originadas por golpe que se den en el transporte y/o almacenaje inadecuado.Es muy importante que revise su mercadería al momento de recibirla dando su conformidad de la misma. Garantía fuera de Lima Metropolitana aplica en la ciudades donde se encuentran las tiendas Cassinelli; en otras ciudades la visita técnica a solicitud del cliente se realizará previa cotización y la validación del cliente a asumir el costo que demande la visita hacia la ciudad donde se encuentre instalado el producto. En caso el producto presentara falla de fabricación se aplicará lagarantía según el punto número 3, brindando la atención en tienda.7.No colocar peso excesivo y/o subirse sobre el mueble y tampoco sobre los inodoros.8.No exponer el producto directamente al sol.9.Evite contacto directo del agua o cualquier otro liquido sobre el mueble de baño para evitar la filtración en el interior de la estructura y se produzca hinchamiento.10.Evitar golpear bruscamente al cerrar las puertas y cajones.11.Evitar arrojar papeles dentro del inodoro.Tiempos de Cobertura:El presente certificado de garantía para one pieces, inodoros, bowls,lavatorios y muebles de baño tendrán vigencia a partir de la fecha de compra del producto indicado en su documento de compra.INFORMACION A CONSIDERARLos sanitarios presentarán curaciones ( parches ) en algunas zonas no visibles de la loza (inodoros o lavatorios).En el proceso de fabricación a altas temperaturas se hallan orificios que son necesarios para la ventilación y pequeñas fisuras que se dan en el proceso de enfriamiento tanto en la base interna y tanque del inodoro e igual forma por debajo del lavatorio.Tener en consideración que la loza sanitaria puede presentar defectos de esmalte permisible según norma técnica de fabricación.no debiendo ser visible a más de 1 metro de distancia de la zona frontal y lateral del producto.TREBOL PLATINUM ORIGIN De por Vida (defecto Fábrica)Accesorio interno (3 años)Complementos (1 año)GOLDEN BATH De por Vida (defecto Fábrica)Accesorio interno (1 año) Complementos(6 meses)3 años1 año Accesorio interno (3 años)Complementos (1 año)De por Vida (defecto Fábrica)LAVATARIOS Y MUEBLESMueble Golden Bath 3 años 6 mesesMueble Trébol Platinum 3 años1 año Mueble Origin CERTIFICADO DE GARANTIASANITARIOS Y MUEBLES DE BAÑOBRAVAT MARCA TABLEROGABINETE LOZA SANITARIA MARCA 2 años10 años NOKEN TIEMPOS DE GARANTIA DE SANITARIOS1 año5 años ACCESORIO Y COMPLEMENTOInspiramos el cambio en tuCERTIFICADO DE GARANTIA INODOROS Y MUEBLES DE BAÑOINSTALACION 1.Contratar personal calificado para la instalación de los productos adquiridos.2.Revisar los componentes del producto antes de la instalación (hacer lectura del manual propio de instalación o video brindado).3.Antes de instalar el inodoro se debe verificar si la medida del eje del punto de desagüe de piso o pared va acorde con la del inodoro,asimismo considerar la medida del punto de agua.4.El tubo de desagüe y la toma de agua, tanto interior como exterior, deben encontrarse libres de impurezas y residuos de cemento que puedan atorar el drenaje de agua.5.Para una instalación de inodoro al piso se debe marcar la posición de los pernos de anclaje en la superficie de forma paralela a la pared terminada, posteriormente perforar e instalar los pernos.6.Colocar el anillo de cera alrededor del desagüe del inodoro luego asentar el inodoro al piso y se asegura en la posición definitiva colocando los pernos de anclaje y ajustando a la loza. El anillo debe formar un sello entre el piso y el inodoro para evitar la salida de malos olores y filtraciones de agua. Hacer pruebas de funcionamiento antes de sellar. fijación del borde de la taza al piso o lavatorios de loza, debe realizarse con alguna silicona neutra para uso sanitario.Este producto permite desmontar la loza sin quebrarla (no usar productos que imposibiliten el desmontaje)MANTENIMIENTOSANITARIOS*Para la limpieza de la loza sanitaria no debe usarse materiales abrasivos como escobilla de alambre o similares que pueden deteriorar el acabado de la loza sanitaria.*Combinar los químicos de limpieza con agua antes de su aplicación para evitar dañar el acabado cromado de las bisagras decorativas,pulsadores o el mismo asiento.MUEBLES DE BAÑO*Los lavatorios de loza deben ser limpiados con agua y jabón líquido utilizando una esponja suave.*Posteriormente secar con un paño para evitar manchas.*Evitar acumulación de agua sobre el mueble, podría generar hinchamiento en su estructura..*Limpiar el mueble únicamente con paño ligeramente húmedo.*No aplicar detergentes y evitar la limpieza con esponjas abrasivas ya sea en el lavatorio y el propio mueble de baño.*Es importante la limpieza diaria de la loza para evitar manchas en la superficie (se recomienda utilizar bicarbonato de sodio y vinagre blanco para eliminar la mancha en la loza).Los datos personales que usted proporciona serán utilizados y/o tratados por Centro Cerámico Las Flores SAC estricta y únicamente a efectos de brindarle atención personalizada para la gestión de una posible solución del inconveniente reportado, así como para la acreditación de la atención del mismo. Centro Cerámico Las Flores SAC podrá compartir y/o usar y/o almacenar y/o transferir su información a terceras personas vinculadas o no a Centro Cerámico Las Flores SAC. sean estos socios comerciales o no de Centro Cerámico Las Flores SAC, con el objeto de realizar las actividades relacionadas a la atención post ventas y/o servicio técnico solicitado. Usted podrá ejercer en cualquier momento su derecho de información, acceso, rectificación, cancelación y oposición de sus datos de acuerdo a lo dispuesto por la Ley de Protección de Datos Personales, vigente y su Reglamento. Para más información en la web ó por correo a ********************************.Nombre de Titular de Compra ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..Numero de Boleta o Factura ………………………………………....……………………………………………………….Fecha de Compra …………………………………….DNI ………………………………………………………………………………………………………………………………..……….Firma ………………………………………………………….Nombre de Contacto ………………………………………………………………………………………………………..…….Firma de Contacto ………………………………………INSTALACION Y MANTENIMIENTO DE INODOROS Y MUEBLES DE BAÑOServicio Técnico CCLFTeléfono 0800-1-2150 / 241-5753 / 243-2242/ 241-5746Contáctenosvíaweb:******************************************************Inspiramos el cambio en tu hogar INSTALACION Y MATENIMIENTODE INODOROS Y MUEBLES DE BAÑO。
无刺蜂指南说明书
1Photos : Bruno Corrêa Barbosa [**********************], Joao Luís Lobo, Pietra Franck Malfitano , and Ana Paula Gelli de Faria . Produced by the authors with the assistance of Rayane Ribeiro, Field Museum . Acknowledgments : Universidade Federal de Juiz de Fora. Common names are based on indigenous or popular names from a variety of regions of Brazil.123 4 Cephalotrigona capitataMombucãoCephalotrigona capitata (Nest)MombucãoFriesella schrottkyi (Nest)Mirim-preguiçaFriesella schrottkyi (Nest)Mirim-preguiça5 Melipona quadrifasciata6 Melipona quadrifasciata (Nest)7 Nannotrigona testaceicornis (Nest) 8MandaçaiaMandaçaia Iraí9 10 11 Scaptotrigona bipunctata (Nest) Partamona helleri (Nest)boca-de-sapoPlebeia cf. pugnax (Nest)MirimPlebeia droryana (Nest)Mirim TubunaThis guide to the stingless bees (Apidae: Meliponini) of the Federal University of Juiz de Fora Botanical Garden is based on research conducted by the Institute of Biological Sciences, which includes Biology, Ecology and Animal Behavior.The Botanical Garden includes about 82 hectares of preserved forest on the outskirts of the city of Juiz de Fora, Minas Gerais, southeastern Brazil. The area is a mosaic of impressive richness and diversity, with floristic heterogeneity of arboreal vegetation and predominance of pioneer plants, in addition to endangered species and a number of exotics.To date, the project has recorded 14 species of stingless bees, which reflects an impressive diversity in these urban fragments.This guide displays most of the species recorded to date in the Federal University of Juiz de Fora Botanical Garden, as well as their nests and some plants they use.Gabriela MacielBotanical Garden of the Federal University of Juiz de Fora, Minas Gerais, BrazilS elected N eotropical STINGLESS BEESBruno Corrêa Barbosa, João Luís Lobo Monteiro de Castro, Samuel Júlio Lima dos Santos,Pietra Franck Malfitano & Ana Paula Gelli de FariaUniversidade Federal de Juiz de Fora, Juiz de Fora, Minas Gerais, Brazil© Bruno Corrêa Barbosa (2021) CC BY-NC 4.0. Licensed works are free to use/share/remix with attribution, but commercial use of the original work is not permitted.[ ][1400] version 1 9/2021Nannotrigona testaceicornis (Nest)Iraí 1213Scaptotrigona xanthotrichaMandaguari-amarela Scaptotrigona xanthotricha (N est )Mandaguari-amarela16Tetragona clavipes (Nest)Borá17Tetragona clavipes (Nest)18 Tetragonisca angustula (Nest)19 Tetragonisca angustula (Nest)20Borá Jataí JataíTrigona spinipes (Nest)Arapuá21222324 Hedychium gardnerianum (Plant)Trigona spinipes (Nest)ArapuáImpatiens walleriana (Plant)BALSAMINACEAEBillbergia zebrina (Plant)BROMELIACEAE ZINGIBERACEAE25262728Acnistus arborescens (Plant) Melipona quadrifasciata (Bee)Euphorbia milii (Plant) Trigona spinipes (Bee)Tradescantia pallida (Plant) Tetragonisca angustula (Bee)Tradescantia pallida (Plant) Partamona cf. cupira (Bee)2930Hippeastrum puniceum (Plant) 32Portea petropolitana (Plant) Trigona spinipes (Bee)Tripogandra diuretica (Plant) Tetragonisca angustula (Bee)Plebeia droryana (Bee)Bidens pilosa (Plant)Cephalotrigona capitata (Bee)14Scaptotrigona xanthotricha (N est )Mandaguari-amarela152Photos : Bruno Corrêa Barbosa [**********************], Joao Luís Lobo, Pietra Franck Malfitano , and Ana Paula Gelli de Faria . Produced by the authors with the assistance of Rayane Ribeiro, Field Museum . Acknowledgments : Universidade Federal de Juiz de Fora. Common names are based on indigenous or popular names from a variety of regions of Brazil.Botanical Garden of the Federal University of Juiz de Fora, Minas Gerais, BrazilSELECTED NEOTROPICAL STINGLESS BEESBruno Corrêa Barbosa, João Luís Lobo Monteiro de Castro, Samuel Júlio Lima dos Santos,Pietra Franck Malfitano & Ana Paula Gelli de FariaUniversidade Federal de Juiz de Fora, Juiz de Fora, Minas Gerais, Brazil© Bruno Corrêa Barbosa (2021) CC BY-NC 4.0. Licensed works are free to use/share/remix with attribution, but commercial use of the original work is not permitted.[ ][1400] version 1 9/202131。
罗舍尔酒庄手风琴曲介绍 -回复
罗舍尔酒庄手风琴曲介绍-回复罗舍尔酒庄是法国波尔多地区最著名的酒庄之一,也是世界著名的葡萄酒品牌。
而罗舍尔酒庄手风琴曲正是这座酒庄的代表作之一。
这首曲子以它独特的旋律和激情四溢的表现方式,赋予了酒庄以浪漫、优雅和热情的艺术氛围。
首先,让我们来了解一下什么是手风琴曲。
手风琴曲起源于法国,是一种以手风琴为主要乐器配合其他乐器演奏的音乐形式。
它以其明快的旋律、丰富的音色和独特的演奏方式深受欢迎。
罗舍尔酒庄手风琴曲创作于20世纪初期,由当时的著名作曲家约瑟夫·罗舍尔创作。
这首曲子的灵感来源于自然界和酒庄的美丽景色,以及葡萄园中勤奋工作的农民们的辛勤。
曲子结构上采用了典型的四部曲模式,包括引子、主题发展、高潮和尾声。
曲子的引子部分以轻柔的音符开始,仿佛是一场悠闲的早晨,阳光洒向大地,鸟儿在枝头鸣唱。
随着节奏渐渐加快,引子过渡到主题发展部分。
主题部分采用了手风琴的独特音色,旋律优美动人,如同葡萄园中绵延的葡萄藤,跳跃着欢快的旋律。
音符之间的转场逐渐增强了曲子的张力,使听众沉浸其中。
随着曲子的推进,高潮部分的到来给人带来了一种豪情万丈的感觉。
音符的高低变化和旋律的急剧上升营造出一种令人激动的氛围,仿佛在庆祝农民们的辛勤耕作和酒庄所生产的上等葡萄酒。
高潮部分的演奏展现了酒庄的热情和骄傲,宛如红酒在品尝者口中散发出的丰富芬芳。
最后,曲子以尾声结束,音符逐渐放缓,落入平静的尾声。
整个曲子仿佛是一次旅程,从宁静开始,经历狂热,最终平静下来。
正如罗舍尔酒庄一样,它将人们带入一个与世隔绝的世界,享受着宁静和美好的时刻。
总而言之,罗舍尔酒庄手风琴曲以其独特的旋律和多样化的音色,展现了酒庄丰富多彩的艺术氛围。
通过这首曲子,人们可以感受到罗舍尔酒庄的浪漫、优雅和热情。
它不仅仅是一首音乐作品,更是一段关于波尔多酒庄文化的旅程,带领人们领略美妙的葡萄酒世界。
无论是通过音乐还是味蕾,罗舍尔酒庄都让人们沉浸在美妙的艺术之中,让人们记忆深刻并想要再次品味。
撕卡布罗集市歌曲英文版
撕卡布罗集市歌曲英文版
《撕卡布罗集市》是一首非常受欢迎的拉丁音乐,源自巴西。
这首歌曲的英文版本通常被称为 "Tear the Market" 或 "Tear Cardboard Market",但是并没有一个官方的英文翻译版本。
因此,
目前没有一个官方的英文版歌词。
然而,一些歌迷和音乐爱好者可能会尝试自行翻译歌曲的歌词,但这些翻译版本可能会有所不同。
由于歌曲的文化背景和特定的表
达方式,将其准确地翻译成英文可能会有一定的挑战。
因此,如果
你在网上搜索 "Tear the Market" 或 "Tear Cardboard Market"
的英文翻译版本,你可能会找到一些非官方的翻译尝试。
总的来说,目前没有一个官方的英文版《撕卡布罗集市》歌曲,但你可以尝试搜索非官方的翻译版本或者尝试自行翻译这首歌曲。
希望这个回答能够满足你的需求。
海藻纤维的介绍
(3)日本
日本一家特种纤维公司是世界首家实现海藻纤维大批量生产的厂家,其工 艺属领先地位。这家公司从1993年起在本国销售海藻纤维毛巾,自2000年 在韩国销售海藻纤维内衣,目前已扩大到欧洲和东南亚等国家。海藻纤维 在内衣上的应用充分体现了海藻纤维能反射远红外线,产生负离子保暖和 保健作用的特性。海藻纤维还具有吸收性,它可以吸收20倍于自己体积的 液体,所以可以使伤口减少微生物孽生及其所可能产生的异味。
海藻纤维 异形纤维
佳仔
海藻纤维
1 2
海藻纤维的概念
海藻纤维的制备方法 海藻纤维的性能 、 海藻纤维的应用 海藻纤维的发展前景
3
4
5
概念
海藻纤维是人造纤维的一种,指从海洋中 一些棕色藻类植物中提取得到的海藻酸钠 经过纺丝加工而成的一种天然高分子功能 性纤维。
现阶段海藻纤维一般应用湿法纺丝,制备过程主要为: 将可溶性海藻酸盐(铵盐、钠盐、钾盐)溶于水中形成粘稠 溶液,脱泡后通过喷丝孔挤出到含有高价金属离子(镁离子 除外,一般为钙离子)的凝固浴中,形成固态海藻酸钙纤维 长丝。该长丝经过拉伸、水洗、干燥、卷曲形成纤维。纤 维经分离、梳理和铺层而制成连续的非织造布。有些情况 下可经过针刺使纤维互相交缠而增加强力,然后将非织造 布切割成所需尺寸,最后检验、消毒和包装。
海藻纤维的发展前景
(1)德国
德国Alceru Schwarza公司生产的SeaCell海藻纤维,是利用海草内含有 之碳水化合物、蛋白质(氨基酸)、脂肪、纤维素和丰富矿物质的优点所 开发出的纤维,这种纤维的制法是以lyocell纤维的生产制造程序为基础, 在纺丝溶液中加入研磨得很细的海藻粉末或悬浮物予以抽丝而成。这些 海藻主要来自于棕、红、绿和篮藻类,尤其是棕藻类及红藻类是最佳海 藻纤维的原材料。
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DEPENDENCIA:FISCALiA GENERAL DEL ESTADO GUERREROSECCiÓN:DIRECCiÓN GENERAL DE PRESUPUESTO Y ADMINISTRACiÓNOFICIO:FGElDGPAl431/2017ASUNTO:MANUAL DE EVALUACiÓN DE RIESGOSChilpancingo de los Bravo,Gro;a21de Febrero de2017.MTRO.ALFONSO DAMIAN PERALTAAUDITOR GENERAL DEL ESTADO DE GUERREROP RES E N T E.FISC A LíA G EN ER A L D E L ESTAD~IR E C C/ÓN G ENER AL D E PRE S U PUY A D MI NISTR AC/Ó¡¡C H1L P ANC lrJ GO,G U_. DIRECTOR GENERALR RcíA BADARESUPUESTO Y ADMINISTRACiÓNPor este conducto me permito informarle que con respecto al punto número6.5.23.Manual de Evaluación de Riesgos de la Entidad fiscalizable,debidamente firmado,se anexa el proyecto del manual de Evaluación de Riesgos,como se muestra este manual estáen proceso de elaboración por ese motivo no se entrega firmado sin embargo el compromiso es entregarlo concluido en el Mes de Mayo próximo.S i n más por el momento,reciba un cordial saludo.FGE·F is ca lía General del Estado de GuerreroBoulevard RenéJuárez Cisneros SIN Colonia El Potrer i to C o digo Postal39090Chilpanc i ngo de los Bravo.GuerreroTeléfono01(747)4942999.018008327692MANUAL DE, ADMINISTRACIONDE RIESGOS DE,LA FISCALIAGENERAL DELESTADO.íNDICEINTRODUCCiÓN3 IDENTIFICACiÓN DEL RIESGO DE LA FISCALlA GENERAL DEL ESTADO..4 TRATAMIENTO PARA DISMINUIR LOS RIESGOS INTERNOS Y EXTERNOS EN LA FISCALíA GENERAL DEL ESTADO DE GUERRERO9 CONCLUSIÓN10INTRODUCCiÓN.En el presente documento se describe el Manual de Administración de Riesgos dentro de la Fiscalía General del Estado de Guerrero,se identificarán y se analizarán los riesgos que pueden afectar el logro de los objetivos y metas de la dependencia,previstos en los programas sectoriales y operativos anuales,acordes al marco jurídico que rige su funcionamiento.La finalidad de este manual es hacer más sencillo el desarrollo de los objetivos con una metodología sistemática y con la herramienta tecnológica adecuada que permita facilitar el trabajo de seguimiento.Se inicia desde el conocimiento interno y externo de la Institución hasta construir un mapa de riesgos confiable y actualizado que nos de las directrices a seguir mediante planes de acción especío pieza del desarrollo laboral,formar parte de esta implementación y que permita trabajar en pro del cumplimiento de sus funciones,lo cual genera certeza del crecimiento laboral.IDENTIFICACiÓN DEL RIESGO DE LA FISCALlA GENERAL DELESTADO.Es esencial que todos los riesgos sean identificados y preferentemente desde la planeación de las actividades tendientes al logro de las metas y objetivos de la Fiscalía General del Estado,se tienen internos y externos,a continuación se describirán:Riesgos internosLiderazgo•Falta de liderazgo para impulsar proyectos•Cambios de Titular•Falta de involucramiento del TitularEstructura orgánica•Estructura orgánica obsoleta o inoperante•Plazas congeladas•Sin Vacantes•Manuales de Organización y/o Procedimientos desactualizados Recursos humanos•Perfiles de personal inadecuados•Inadecuada selección del personal•Falta de capacitación o actualización•Salarios bajos o inequitativos•Expedientes desactualizados o incompletos•Distribución desigual de personal sustantivo•Resistencia al cambio en las nuevas formas de operar•Rotación o renuncia de personal con experiencia o altamente capacitado•Competencia profesional limitada de los mandos medios y superiores •Inadecuados principios y valores del personalRecursos materiales•Recursos insuficientes•Recepción inoportuna de recursos•Distribución inadecuada•Inventarios desactualizadosRecursos financieros•Presupuesto autorizado insuficiente•Inadecuada distribución presupuestal•Ministraciones inoportunas•Uso inadecuado de los recursos•Recortes en el presupuesto autorizado•Incremento en el presupuesto programado•Altos costos de operaciónTecnología•Software o hardware insuficiente u obsoleto•Servicio de internet intermitente•Distribución inadecuada de equipo•Baja confiabilidad de la tecnología de información•Grado insuficiente de sistematización de las operaciones•Falta de acceso a nuevas tecnologíasCondiciones de trabajo y ambiente laboral•Horarios inadecuados•Bajos sueldos•Vacaciones insuficientes•Prestaciones insuficientes•Falta de estímulos y recompensas•Inoperatividad del servicio de carrera•Conflictos internos•Trato desigual•Desmotivación del personal•Instalaciones inadecuadas•Mobiliario y equipo de oficina insuficienteTrabajo en equipo•Falta de trabajo en equipo propiciado por malas relaciones interpersonales•Protagon ismos•Competencia deslealProcesos•Inadecuada sistematización de procesos•Burocracia excesiva o falta de simplificación de los procesos•Falta de alineación a los objetivos institucionales•Procesos modificados,no difundidos entre todo el personal operativo Aspectos jurídicos•Cambios frecuentes de normatividad•Falta de difusión de la normatividad interna•Falta de análisis de los efectos y alcances de los cambios a la•normatividad•Incumplimiento de la normatividadSistema de control interno•Inadecuada calidad de los controles internos en los medios,mecanismos o procedimientos para realizar las actividades que aseguren el cumplimiento de los objetivos y metas institucionalesSupervisión•Ausencia de acciones de seguimiento y evaluación para detectar desviaciones y garantizar el adecuado cumplimiento de los objetivos y metas institucionales.Información•Inadecuada sistematización de la información.•Retraso en el envío de informaciónRiesgos externosFactores sociales•Conflictos de diversos sectores de la población(manifestaciones, huelgas).Incidencia delictiva•Incremento de la incidencia delictiva•Proliferación de nuevos carteles de la droga•Incremento de nuevas organizaciones delictivas•Nuevos"modus operandi"Delincuencia organizada•Nivel de organización•Financiamiento•Tecnología•Mayor y mejor equipamiento de las organizaciones delictivas Factores políticos•Procesos electorales•Cambio de gobierno•Remoción de titulares•Cambio de políticas públicas en materia de procuración de justicia Factores económicos•Presupuesto anual autorizado para la FGE.•Estructura y plantilla de personal aprobadas•Inflación•Participación ciudadana•Incremento o baja en la cultura de la denuncia•Prevención del delito•Interacción de la sociedad civil organizada con la FGE.Aspectos jurídicos•Retraso en la aprobación de nuevas iniciativas de ley en materia de procuración de justiciaCorrupción e impunidad•Incremento de losíndices de corrupción entre el personal ministerialProveedores•Largos procesos de licitación•Retraso en la entrega de bienes o servicios con una calidad inferior a la contratadaAuditorías externas•Observaciones y recomendaciones emitidas por las instancias fiscalizadoras.•Reporte inoportunos o inadecuadosInformación veraz y oportuna•Difusión errónea o manipulada de información por los medios de comunicación.TRATAMIENTO PARA DISMINUIR LOS RIESGOS INTERNOS Y EXTERNOS EN LA FISCALíA GENERAL DEL ESTADO DEGUERRERO.Dentro del tratamiento de los riesgos,como ya vimos en el presente documento existen dos tipos de riesgos internos y externos a continuación se darán opciones para poder reducir los riesgos antes mencionados.Los controles pueden reducir los riesgos en diferentes formas:•Reducir la probabilidad de que la vulnerabilidad sea explotada;•Reducir el impacto probable si el riesgo ocurre al detectar los eventos indeseados,reaccionando,y recuperándose de ellos.Cuando se seleccionen los controles para su implementación,un número de factores deben ser considerados:La facilidad de uso del control;•La confiabilidad y repetibilidad del control;•La fortaleza relativa de los controles;y•Los tipos de funciones realizadas(prevención,disuasión,detección, recuperación,corrección,monitoreo y concienciación).Evitar el riesgo describe cualquier acción donde las actividades del Centro o la forma como se conducen las funciones de la FGE son modificadas para evitar que ocurra el riesgo.Evitar el riesgo se puede alcanzar mediante:•No conducir ciertas actividades del Centro;•Mover activos fuera de unárea de riesgo;o•Decidir no procesar información particularmente sensible.CONCLUSiÓNEn el Sistema de Administración de Riesgos en la FGE uno de losobstáculos para el seguimiento del mismo,fue que solo se asignanresponsables para cada uno de los planes de acción,pero no hay un enlaceporárea que déseguimiento a todos los riesgos competentes.Por lo cualse recomienda que para mejorar la gestión y cumplir de manera máseficiente,en tiempo y forma,los planes de acción y las tareas relacionadasal seguimiento y control del Sistema,se designe a un enlace en cada unade lasáreas que conforman el FGE.Dentro de la Institución,los cambios de sus Titulares,trae consigo el relevode los funcionarios de las Direcciones,lo que con lleva que los planes,proyectos y sistemas,en la gran mayoría de los casos,pierdan continuidad.Al evaluar los resultados del Sistema de Administración de Riesgos,serecomienda exponerlos a los nuevos integrantes de las direcciones paraque se décontinuidad al mismo y además potenciar sus fortalezas yoportunidades para crear una cultura de seguridad de la información,a lavez que se fortalece los trabajos realizados en el FGE en cumplimiento delas funciones encomendadas al mismo;lo anterior,por tratarse de unsistema que contempla el tratamiento de los riesgos,contemplando suseguimiento y control.Es de suma importancia que se haga partícipe del Sistema deAdministración de Riesgos,a todas y cada una de las personas que laboranen la FGE y que colaboran en el cumplimiento de los objetivosinstitucionales,del valor de conocer las amenazas y vulnerabilidades a losque se enfrenta y/o enfrentarála FGE,y asimismo de las oportunidades yfortalezas con que cuenta,haciendoénfasis en el valor de su colaboración,agregando todos los conceptos de seguridad de la información,todo loanterior en pláticas de concienciación al personal,información publicada encápsulas informativas a través del correo interno institucional y del periódicodigital,contribuyendo asía permear en toda la pirámide organizacional,desde los altos directivos hasta los analistas,la cultura del análisis delriesgo y de la seguridad de la información,que dicho sea de paso,éstaúltima es el activo más importante de este Centro de Planeación.10FGE·Fiscalía General del Estado de GuerreroBou l evard RenéJuárez Cisneros SIN Co l onia E l Potrerito Codigo Postal39090Chi l pancingo de los Bravo,GuerreroTe léfono01(747)4942999•018008327692。
法国人写的关于法国宁乡下生活的书
法国人写的关于法国宁乡下生活的书
有很多法国人写过关于法国宁乡下生活的书,以下是其中一些知名的例子:
1. 《乡村的悦乐》(La Gloire de Mon Père)和《我的青少年
岁月》(Le Château de ma Mère)- 马塞尔·帕涅尔(Marcel Pagnol):这是帕涅尔的两部回忆录,讲述了他在普罗旺斯的
法国乡村长大的生活故事。
2. 《葡萄园》(Le Rouge et le Noir)- 斯坦达尔(Stendhal):这本小说描绘了19世纪法国农村社会的阶级冲突和爱情故事。
3. 《偷桃子的人》(L'homme qui plantait des arbres)- 让·乔丹(Jean Giono):这是一部关于一个孤独的农夫在法国普罗旺
斯地区恢复森林的故事。
4. 《乡村教师》(Le Maître d'école)- 弗朗索瓦·贝尔纳丹(François Bégaudeau): 这本小说描述了一位法国乡村小学教
师对学生和教育体制的反思。
5. 《那天晚上,村庄到哪去了》(La Nuit des temps, 村落处于
何方)- 雅克-奥迪亚尔(René Barjavel):这本小说讲述了一
个法国乡村社区的故事,在一个满是神秘的冰雪世界中重新出现。
这些书籍都涵盖了法国乡村生活的各个方面,从儿童时代的回忆到日常生活的描绘,或者探讨了农村社区面临的挑战和冲突。
无论是文学作品还是回忆录,它们都给人们一个深入了解法国宁乡下生活的机会。
法语动画短片《种树的人》之物质焦点与生态意蕴解析
48【摘要】弗雷德里克·贝克的动画《种树的人》集文学、绘画和音乐多元艺术表现形式为一体,以生态整体主义视野讲述人类与自然构建的命运共同体。
首先,灰白、赭黄为主的初始色调营造的荒芜感渲染生存的危机,融合第一人称旁白讲述的故事强调人性异化所导致的人类与自然的危机;其次,远景镜头构建的叙事空间让人类退出画面中心,强调自然的独立性与主体性,否定人类中心主义。
而后青绿、蔚蓝等多重色彩的画面转变隐喻村庄再生后的生机,还原自然的本真美感,描绘生态整体观下人与自然的和谐共生;最后,背景音乐与自然之音交融,自然以本原的声音“叙述”生态的变化,描绘生态和谐的人类诗意栖居地风景。
【关键词】物质生态批评 《种树的人》 吉奥诺 贝克 施事能力与叙事能力【项目】山东省社会科学规划研究项目“生态女性主义视野中的法国作家吉奥诺前期乡土小说研究”(项目编号:18DWWJ02)、国家社科基金重大项目(19ZDA044)子项目“法国当代自然美学”的阶段性研究成果。
肇始于20世纪70年代美国文学领域的生态批评,其理论发展至今共经历四波“浪潮”。
文学作品一直是生态批评实践最为直接且占据主流的文本分析资源,然而,生态批评与生俱来的跨学科和跨领域特质决定了它并非纯粹的文学批评,因此,当生态批评进入法语语境时,富含生态意蕴的电影、美术等艺术作品成为其必不可少的研究对象。
世纪之交,西方学界逐步掀开了生态维度下的电影研究的序幕①。
近十年间,生态批评不断从“物质转向”(material turn)的哲学思潮中汲取营养,借鉴其多种物质模式,如巴拉德(Barad)的“内在互动性”(intra-action)、拉图尔(Latour)的自然、话语与社会串联而成的“网络”(network)等,物质焦点逐步成为文学、电影等不同艺术形式的解析视角,用以阐释“作为物质力量的自然和环境作用于或交互作用于文化体系、文本与艺术品的方式及其深刻影响”②。
1987年,法裔加拿大籍动画导演弗雷德里克·贝克(Frédéric Back)出品时长30分钟的动画《种树的人》(L’homme qui plantait de s arbres),该片改编自法国作家让·吉奥诺(Jean Giono)的同名短篇小说,讲述一位老人凭借勤劳双手将不毛之地变为迦南沃土的故事,传递出浓厚的生态意识。
阿波利奈尔诗选
阿波利奈尔诗选
《阿波利奈尔诗选》是法国诗人纪尧姆·阿波利奈尔(Guillaume Apollinaire)的一部诗集,其中收录了他的许多著名诗作。
阿波利奈尔是法国现代主义文学的代表人物之一,他的诗歌风格独特,充满了想象力和幽默感。
《阿波利奈尔诗选》中的诗歌主题广泛,包括爱情、自然、艺术、哲学等。
他的诗歌语言简洁明了,但却蕴含着深刻的思想和情感。
例如,他的《米拉波桥》一诗中,通过对巴黎的米拉波桥的描绘,表达了对逝去时光的怀念和对生命的思考。
阿波利奈尔的诗歌风格深受当时的艺术界和文学界的影响,他与许多艺术家和文学家交往密切,如毕加索、海明威等。
他的诗歌对后来的现代主义文学和艺术产生了深远的影响。
总的来说,《阿波利奈尔诗选》是一部具有重要意义的文学作品,它展示了阿波利奈尔独特的诗歌风格和深刻的思想,对于了解法国现代主义文学和艺术的发展具有重要的参考价值。
Watt Pe
3B SCIENTIFIC ® PHYSICS1Instrucciones de uso09/15 ALF1 Eje2 Manguito (móvil)3 Barra de palanca4 Muelle helicoidal5Barra de palanca con pesaExiste peligro de daños debido a la gran fuerza centrífuga que se desarrolla, por este motivo:∙ Comprobar antes del experimento que laspesas estén unida firmemente a la barra del péndulo.∙ Introducir profundamente el eje en elmandril del motor de experimentación y ajustarlo con firmeza.∙ Mantener la distancia de seguridad.∙ Aumentar la velocidad angular lentamente. ∙ No tocar los cuerpos en rotación.∙ Interrumpir la alimentación eléctrica antesde desmontar el equipo.Las piezas giratorias pueden atrapar el cabello largo, prendas sueltas o alhajas, y enrollarlos. ∙ Para evitar este peligro, se debe usar unaredecilla si se tiene cabello largo.∙ Retire cualquier prenda de vestiro alhajano apropiada.El péndulo Watt sirve para demostrar el principio de la regulación de revoluciones, por ejemplo, en las máquinas a vapor.Centrado sobre un eje, se encuentra emplazado un péndulo doble. En posición de reposo, los péndulos se mantienen unidos mediante un resorte. Durante la rotación, los péndulos son elevados más y más a lo largo del eje dependiendo del número de revoluciones por segundo. Este desplazamiento se emplea técnicamente paratareas de regulación (regulador centrífugo). Diámetro máximo: 350 mm Altura:250 mm Diámetro del eje: 10 mmPeso: aprox. 0,4 kg3B Scientific GmbH ▪ Rudorffweg 8 ▪ 21031 Hamburg o ▪ Alemania ▪ Se reservan las modificaciones técnicas © Copyright 2015 3B Scientific GmbHPara la ejecución de los experimentos se requieren adicionalmente los siguientes equipos.1 Motor de experimentación con engranaje 1002663 1 fuente de alimentación cc 0–20 V @230 V 1003312 o1 fuente de alimentación cc 0–20 V @115 V 1003311 1 trípode dúplex 1002836 Cable de experimentación∙ Montar el motor de experimentación sobreel trípode.∙ Introducir profundamente el eje delpéndulo de Watt en el mandril del motor de experimentación y ajustarlo con firmeza. ∙ Se hace el enlace de la fuente dealimentación con el motor de experimentación.∙ Primero se ajusta en cero la tensión desalida de la fuente de alimentación y luego se conecta.∙ Para incrementar las rotaciones porsegundo se aumenta lentamente la tensión de salida de la fuente y se observa la desviación del péndulo de Watt con respecto a la vertical.Fig. 1: Montaje experimental。
米兰队歌(汉字注音)
Milan Milan soio con te---米兰米兰索罗亢帖Milan Milan semora perte---米兰米兰森普瑞坡尔帖Camminiamo not accanto ai nostri eroi---嘎民尼亚莫诺伊啊嘎开拿忒落伊sopra un campo verde somo un cielo blu---所扑拉无抗破维尔逮所莫无柴落布鲁conquistate vooi una stella in piu---控奎伺他帖沃伊乌呐塞拉琼ha brillate in nore insieme cantiamo---啊宾布拉帖诺瑞因塞卖康替亚莫Milan Milan solo con te---米兰米兰索罗亢帖Milan Milan semora perte---米兰米兰森普瑞坡尔帖con il Milan nel cuore---控内米兰内过肋nel profondo dell anma---乃了普落枫多迭拉尼玛un vsio amico seve insieme cantiamo---乌外笑啊米孔塞因塞卖康替亚莫Milan Milan solo con te---米兰米兰索罗亢帖Milan Milan sempre per te--米兰米兰森普瑞坡尔帖OH……OH…OH…Con il sogno che la violenza no---控内拟索郭诺切拉维奥兰萨诺non ti sporchi maie insieme cantiamo---诺第踢四抛弃卖因塞卖康替亚莫Milan Milan solo con te---米兰米兰索罗亢帖Milan Milan sempre per te--米兰米兰森普瑞坡尔帖Milan Milan solo con te---米兰米兰索罗亢帖Milan Milan sempre per te--米兰米兰森普瑞坡尔帖OH…OH…OH…OH…(米兰米兰,只原拥护你米兰米兰,永远为了你我们走在英雄的身边绿地上蓝天下你们又获得一颗星星闪烁在我们之间,我们齐声歌唱米兰在心中在灵魂深出你真正的朋友米兰米兰愿你远离暴力污染)自凑米兰队歌中文球迷版,供大伙一嬉。
西语合唱曲目
西语合唱曲目引言西语合唱曲目是指由多个歌手或合唱团体演唱的西班牙语歌曲。
西班牙语作为一种世界上最流行的语言之一,拥有丰富多样的音乐风格和传统。
在西语合唱曲目中,我们可以欣赏到不同地区和文化背景的音乐表达,从而感受到西班牙和拉丁美洲独特的音乐魅力。
本文将为您介绍几首脍炙人口、广受欢迎的西语合唱曲目,涵盖了流行、民族、传统和现代风格。
这些歌曲既具有优美动听的旋律,又融入了深刻的情感和文化内涵。
无论您是对西班牙文化感兴趣还是想找些新鲜而美妙的音乐作品,这些西语合唱曲目都会给您带来愉悦和享受。
1. “Bésame Mucho” - Consuelo Velázquez“Bésame Mucho” 是一首由墨西哥作曲家Consuelo Velázquez创作的经典西语爱情歌曲。
这首歌于1940年代初期问世,迅速风靡全球。
它以其浪漫、深情和优美的旋律而闻名,成为了许多艺术家演唱和翻唱的对象。
“Bésame Mucho” 的歌词表达了深沉、热烈的爱情之情感,意味着“亲吻我很多”。
它是一首充满激情和温柔的歌曲,通过细腻动人的旋律和词句,传达出爱人之间无尽的温存和眷恋。
2. “La Bamba” - Ritchie Valens“La Bamba” 是一首来自墨西哥民族音乐的传统舞曲。
这首歌在1958年由美国墨西哥裔音乐家Ritchie Valens重新演绎,并取得了巨大成功。
它结合了拉丁节奏、摇滚元素和动感旋律,成为了拉丁音乐的经典代表之一。
“La Bamba” 的歌词用西班牙语演唱,描述了一个年轻人的欢乐和热情。
这首歌以其欢快、活力四溢的节奏和动感的旋律而闻名,是许多舞蹈和庆祝活动中不可或缺的曲目。
3. “Volver, Volver” - Vicente Fernández“Volver, Volver” 是由墨西哥传奇歌手Vicente Fernández演唱的一首墨西哥流行歌曲。
意大利新古典乐团ASHRAM—2012中国巡演北京站
意大利新古典乐团ASHRAM—2012中国巡演北京站意大利新古典乐团ASHRAMAshram----乡间供沉思的小屋……又是一个美妙至极的名字.自然,做出的也是美妙至极的音乐.Ashram由3 名成员组成: Luigi Rubino(钢琴),Sergio Panarella(声乐演唱)和Alfredo Notarlobert(小提琴).另外,Alfredo同时也是Argine乐队的小提琴手.正是因为这点,Ashram有着同Argine一样忧伤美丽的小提琴.Ashram的音乐是极简的,大多数时候,只有古典钢琴和小提琴的伴奏,少许的曲目会加入一些大提琴和男低音.他们的另外一个特点是Sergio的十分特别的高音,使其听起来相当忧郁而悲哀.他们就是用这些元素构架出了一种相当忧郁哀怨但又非常美丽的声音.这是最适合于窗外瓢泼大雨的夜晚静心聆听的音乐.意大利新古典乐团ASHRAM2001年推出的EP《ForMySun》和2002年的同名专辑《Ashram》让越来越多的古典和独立乐迷知道并且喜欢上了Ashram这支低调的新古典乐队。
倡导慢工出细活的Ashram直到2006年才推出第二张专辑《ShiningSilverSkies》。
纯净唯美的专辑在完整性与流畅性上体现了极高的水准,这支以旋律制胜的三人乐团无疑给了古典乐迷们一个大大的惊喜。
整张专辑像一场完整的演出,时而哀怨忧郁,时而磅礴凝重,忧伤之后是淡淡的幸福。
不用波澜壮阔,却能四两拨千斤般让你的情绪随着音乐游走,这是Ashram的魅力。
目前,制作周期更长的第三张专辑正在秘密录制中,大家可以更加期待乐队将走到一个新的高度。
和他们慢板的音乐一样,Ashram乐队的动态总是慢吞吞的,总是让乐迷们等得太久。
首张EP出版之后8年,才首次来到中国演出,并获得圆满成功。
转眼三年过去了,不少乐迷一直期待Ashram能带着新老作品一同回到中国。
意大利新古典乐团ASHRAM今年10月,乐迷们的心愿终于能够如愿以偿,Ashram将会携新专辑以完整阵容展开中国巡演,并且参加在天津,上海,武汉三城举行的梦象音乐节。
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Jean Giono L’homme qui plantait des arbresBe QJean GionoL’homme qui plantait des arbres La Bibliothèque électronique du QuébecCollection Classiques du 20e siècleVolume 49 : version 1.01Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable.Il y a environ une quarantaine d’années, jefaisais une longue course à pied, sur des hauteurs absolument inconnues des touristes,dans cette très vieille région des Alpes quipénètre en Provence.Cette région est délimitée au sud-est et ausud par le cours moyen de la Durance, entreSisteron et Mirabeau ; au nord par le cours supérieur de la Drôme, depuis sa source jusqu’à Die ; à l’ouest par les plaines du Comtat Venaissin et les contreforts du mont Ventoux. Elle comprend toute la partie nord du département des Basses-Alpes, le sud de la Drôme et une petite enclave du Vaucluse.C’étaient, au moment où j’entrepris ma longue promenade dans ces déserts, des landes nues et monotones, vers mille deux cents à mille trois cents mètres d’altitude. Il n’y poussait que des lavandes sauvages.Je traversais ce pays dans sa plus grandelargeur et, après trois jours de marche, je me trouvais dans une désolation sans exemple. Jecampais à côté d’un squelette de village abandonné. Je n’avais plus d’eau depuis la veille et il me fallait en trouver. Ces maisons agglomérées, quoique en ruine, comme un vieux nid de guêpes, me firent penser qu’il avait dû y avoir là, dans le temps, une fontaine ou un puits. Il y avait bien une fontaine, mais sèche. Les cinq à six maisons, sans toiture, rongées de vent et de pluie, la petite chapelle au clocher écroulé, étaient rangées comme le sont les maisons et les chapelles dans les villages vivants, mais toute vie avait disparu.C’était un beau jour de juin avec grand soleil,mais, sur ces terres sans abri et hautes dans le ciel, le vent soufflait avec une brutalité insupportable. Ses grondements dans les carcasses des maisons étaient ceux d’un fauve dérangé dans son repas.Il me fallut lever le camp. À cinq heures demarche de là, je n’avais toujours pas trouvéd’eau et rien ne pouvait me donner l’espoir d’en trouver. C’était partout la même sécheresse, lesmêmes herbes ligneuses. Il me sembla apercevoir dans le lointain une petite silhouette noire, debout. Je la pris pour le tronc d’un arbre solitaire. À tout hasard, je me dirigeai vers elle. C’était un berger. Une trentaine de moutons couchés sur la terre brûlante se reposaient près de lui.Il me fit boire à sa gourde et, un peu plustard, il me conduisit à sa bergerie, dans une ondulation du plateau. Il tirait son eau – excellente – d’un trou naturel, très profond, au-dessus duquel il avait installé un treuil rudimentaire.Cet homme parlait peu. C’est le fait des solitaires, mais on le sentait sûr de lui et confiant dans cette assurance. C’était insolite dans ce pays dépouillé de tout. Il n’habitait pas une cabane mais une vraie maison en pierre où l’on voyait très bien comment son travailpersonnel avait rapiécé la ruine qu’il avaittrouvée là à son arrivée. Son toit était solide et étanche. Le vent qui le frappait faisait sur lestuiles le bruit de la mer sur les plages.Son ménage était en ordre, sa vaisselle lavée,son parquet balayé, son fusil graissé ; sa soupebouillait sur le feu ; je remarquai alors qu’il était aussi rasé de frais, que tous ses boutons étaient solidement cousus, que ses vêtements étaient reprisés avec le soin minutieux qui rend les reprises invisibles.Il me fit partager sa soupe et, comme après je lui offrais ma blague à tabac, il me dit qu’il ne fumait pas. Son chien, silencieux comme lui, était bienveillant, sans bassesse.Il avait été entendu tout de suite que jepasserais la nuit là ; le village le plus proche était encore à plus d’une journée et demie de marche. Et, au surplus, je connaissais parfaitement le caractère des rares villages de cette région. Il y en a quatre ou cinq dispersésloin les uns des autres sur les flans de ceshauteurs, dans les taillis de chênes blancs à la toute extrémité des routes carrossables. Ilssont habités par des bûcherons qui font du charbon de bois. Ce sont des endroits où l’on vit mal. Les familles, serrées les unes contre les autres dans ce climat qui est d’une rudesse excessive, aussi bien l’été que l’hiver, exaspèrent leur égoïsme en vase clos. L’ambition irraisonnée s’y démesure, dans le désir continu de s’échapper de cet endroit. Les hommes vont porter leur charbon à la ville avec leurs camions, puis retournent. Les plus solides qualités craquent sous cette perpétuelle douche écossaise. Les femmes mijotent des rancœurs. Il y a concurrence sur tout, aussi bien pour la vente du charbon que pour le banc à l’église, pour les vertus qui se combattent entre elles, pour les vices qui se combattent entre eux et pour la mêlée générale des vices et des vertus, sans repos. Par là-dessus, le vent également sans repos irrite les nerfs. Il y a des épidémiesde suicides et de nombreux cas de folie,presque toujours meurtrières.Le berger qui ne fumait pas alla chercher unpetit sac et déversa sur la table un tas de glands. Il se mit à les examiner l’un après l’autreavec beaucoup d’attention, séparant les bonsdes mauvais. Je fumais ma pipe. Je me proposai pour l’aider. Il me dit que c’était son affaire. En effet : voyant le soin qu’il mettait à ce travail, je n’insistai pas. Ce fut toute notre conversation. Quand il eut du côté des bons un tas de glands assez gros, il les compta par paquets de dix. Ce faisant, il éliminait encore les petits fruits ou ceux qui étaient légèrement fendillés, car il les examinait de fort près. Quand il eut ainsi devant lui cent glands parfaits, il s’arrêta et nous allâmes nous coucher.La société de cet homme donnait la paix. Je lui demandai le lendemain la permission de me reposer tout le jour chez lui. Il le trouva tout naturel. Ou plus exactement, il me donnal’impression que rien ne pouvait le déranger. Cerepos ne m’était pas absolument obligatoire, mais j’étais intrigué et je voulais en savoir plus.Il fit sortir son troupeau et il le mena à la pâture. Avant de partir, il trempa dans un seau d’eau le petit sac où il avait mis les glands soigneusement choisis et comptés.Je remarquai qu’en guise de bâton, ilemportait une tringle de fer grosse comme lepouce et longue d’environ un mètre cinquante. Je fis celui qui se promène en se reposant et je suivis une route parallèle à la sienne. La pâture de ses bêtes était dans un fond de combe. Il laissa le petit troupeau à la garde du chien et il monta vers l’endroit où je me tenais. J’eus peur qu’il vînt pour me reprocher mon indiscrétion mais pas du tout : c’était sa route et il m’invita à l’accompagner si je n’avais rien de mieux à faire. Il allait à deux cents mètres de là, sur la hauteur.Arrivé à l’endroit où il désirait aller, il se mità planter sa tringle de fer dans la terre. Ilfaisait ainsi un trou dans lequel il mettait ungland, puis il rebouchait le trou. Il plantait des chênes. Je lui demandai si la terre luiappartenait. Il me répondit que non. Savait-il à qui elle était ? Il ne savait pas. Il supposait que c’était une terre communale, ou peut-être, était-elle la propriété de gens qui ne s’en souciaient pas ? Lui ne se souciait pas de connaître les propriétaires. Il planta ainsi cent glands avec un soin extrême.Après le repas de midi, il recommença à triersa semence. Je mis, je crois, assez d’insistance dans mes questions puisqu’il y répondit. Depuis trois ans il plantait des arbres dans cette solitude. Il en avait planté cent mille. Sur les cent mille, vingt mille était sortis. Sur ces vingt mille, il comptait encore en perdre la moitié, du fait des rongeurs ou de tout ce qu’il y a d’impossible à prévoir dans les desseins de la Providence. Restaient dix mille chênes qui allaient pousser dans cet endroit où il n’y avait rien auparavant.C’est à ce moment là que je me souciai del’âge de cet homme. Il avait visiblement plus de cinquante ans. Cinquante-cinq, me dit-il. Ils’appelait Elzéard Bouffier. Il avait possédé une ferme dans les plaines. Il y avait réalisé sa vie. Il avait perdu son fils unique, puis sa femme. Il s’était retiré dans la solitude où il prenait plaisir à vivre lentement, avec ses brebis et son chien. Il avait jugé que ce pays mourait par manque d’arbres. Il ajouta que, n’ayant pas d’occupations très importantes, il avait résolu de remédier à cet état de choses.Menant moi-même à ce moment-là, malgrémon jeune âge, une vie solitaire, je savaistoucher avec délicatesse aux âmes des solitaires. Cependant, je commis une faute. Mon jeune âge, précisément, me forçait à imaginer l’avenir en fonction de moi-même et d’une certaine recherche du bonheur. Je lui dis que, dans trente ans, ces dix mille chênes seraient magnifiques. Il me répondit très simplement que, si Dieu lui prêtait vie, dans trente ans, il enaurait planté tellement d’autres que ces dix mille seraient comme une goutte d’eau dans la mer.Il étudiait déjà, d’ailleurs, la reproduction des hêtres et il avait près de sa maison une pépinière issue des faines. Les sujets, qu’il avait protégés de ses moutons par une barrière en grillage, étaient de toute beauté. Il pensait également à des bouleaux pour les fonds où, me dit-il, une certaine humidité dormait à quelques mètres de la surface du sol.Nous nous séparâmes le lendemain.L’année d’après, il y eut la guerre de 14 dans laquelle je fus engagé pendant cinq ans. Un soldat d’infanterie ne pouvait guère y réfléchir à des arbres. À dire vrai, la chose même n’avait pas marqué en moi ; je l’avais considérée comme un dada, une collection de timbres, et oubliée. Sorti de la guerre, je me trouvais à la tête d’une prime de démobilisation minuscule mais avec le grand désir de respirer un peu d’air pur.C’est sans idée préconçue – sauf celle-là – que jerepris le chemin de ces contrées désertes.Le pays n’avait pas changé. Toutefois, au-delàdu village mort, j’aperçus dans le lointain une sorte de brouillard gris qui recouvrait leshauteurs comme un tapis. Depuis la veille, jem’étais remis à penser à ce berger planteur d’arbres. « Dix mille chênes, me disais-je, occupent vraiment un très large espace. »J’avais vu mourir trop de monde pendant cinq ans pour ne pas imaginer facilement la mort d’Elzéard Bouffier, d’autant que, lorsqu’on en a vingt, on considère les hommes de cinquante comme des vieillards à qui il ne reste plus qu’à mourir. Il n’était pas mort. Il était même fort vert. Il avait changé de métier. Il ne possédait plus que quatre brebis mais, par contre, une centaine de ruches. Il s’était débarrassé des moutons qui mettaient en péril ses plantations d’arbres. Car, me dit-il (et je le constatais), il ne s’était pas du tout soucié de la guerre. Il avait imperturbablement continué à planter.Les chênes de 1910 avaient alors dix ans etétaient plus hauts que moi et que lui. Le spectacle était impressionnant. J’étaislittéralement privé de parole et, comme lui ne parlait pas, nous passâmes tout le jour en silence à nous promener dans sa forêt. Elle avait, en trois tronçons, onze kilomètres de longet trois kilomètres dans sa plus grande largeur.Quand on se souvenait que tout était sorti desmains et de l’âme de cet homme – sans moyens techniques –, on comprenait que les hommes pourraient être aussi efficaces que Dieu dans d’autres domaines que la destruction.Il avait suivi son idée, et les hêtres quim’arrivaient aux épaules, répandus à perte de vue, en témoignaient. Les chênes étaient drus et avaient dépassé l’âge où ils étaient à la merci des rongeurs ; quant aux desseins de la Providence elle-même, pour détruire l’œuvre créée, il lui faudrait avoir désormais recours aux cyclones. Il me montra d’admirables bosquets de bouleaux qui dataient de cinq ans,c’est-à-dire de 1915, de l’époque où jecombattais à Verdun. Il leur avait fait occuper tous les fonds où il soupçonnait, avec justeraison, qu’il y avait de l’humidité presque à fleur de terre. Ils étaient tendres comme des adolescents et très décidés.La création avait l’air, d’ailleurs, de s’opérer en chaînes. Il ne s’en souciait pas ; il poursuivait obstinément sa tâche, très simple. Mais en redescendant par le village, je vis couler de l’eau dans des ruisseaux qui, de mémoire d’homme, avaient toujours été à sec. C’était la plus formidable opération de réaction qu’il m’ait été donné de voir. Ces ruisseaux secs avaient jadis porté de l’eau, dans des temps très anciens. Certains de ces villages tristes dont j’ai parlé au début de mon récit s’étaient construits sur les emplacements d’anciens villages gallo-romains dont il restait encore des traces, dans lesquelles les archéologues avaient fouillé et ils avaient trouvé des hameçons à des endroits où au XX e siècle on était obligé d’avoir recours àdes citernes pour avoir un peu d’eau.Le vent aussi dispersait certaines graines. Enmême temps que l’eau réapparut réapparaissaient les saules, les osiers, les prés, les jardins, les fleurs et une certaine raison de vivre.Mais la transformation s’opérait si lentement qu’elle entrait dans l’habitude sans provoquer d’étonnement. Les chasseurs qui montaient dans les solitudes à la poursuite des lièvres ou des sangliers avaient bien constaté le foisonnement des petits arbres mais ils l’avaient mis sur le compte des malices naturelles de la terre. C’est pourquoi personne ne touchait à l’œuvre de cet homme. Si on l’avait soupçonné, on l’aurait contrarié. Il était insoupçonnable. Qui aurait pu imaginer, dans les villages et dans les administrations, une telle obstination dans lagénérosité la plus magnifique ?À partir de 1920, je ne suis jamais resté plusd’un an sans rendre visite à Elzéard Bouffier.Je ne l’ai jamais vu fléchir ni douter. Et pourtant, Dieu sait si Dieu même y pousse ! Jen’ai pas fait le compte de ses déboires. On imagine bien cependant que, pour une réussite semblable, il a fallu vaincre l’adversité ; que, pour assurer la victoire d’une telle passion, il a fallu lutter avec le désespoir. Il avait, pendant un an, planté plus de dix mille érables. Ils moururent tous. L’an d’après, il abandonna les érables pour reprendre les hêtres qui réussirent encore mieux que les chênes.Pour avoir une idée à peu près exacte de cecaractère exceptionnel, il ne faut pas oublierqu’il s’exerçait dans une solitude totale ; si totale que, vers la fin de sa vie, il avait perdu l’habitude de parler. Ou, peut-être, n’en voyait-il pas la nécessité ?En 1933, il reçut la visite d’un garde forestier éberlué. Ce fonctionnaire lui intima l’ordre de ne pas faire de feux dehors, de peur de mettre en danger la croissance de cetteforêt naturelle. C’était la première fois, lui dit cet homme naïf, qu’on voyait une forêt pousser toute seule. À cette époque, il allait planter des hêtres à douze kilomètres de sa maison. Pour s’éviter le trajet d’aller-retour – car il avait alors soixante-quinze ans – il envisageait de construire une cabane de pierre sur les lieux mêmes de ses plantations. Ce qu’il fit l’année d’après.En 1935, une véritable délégation administrative vint examiner la forêt naturelle. Il y avait un grand personnage des Eaux et Forêts, un député, des techniciens. On prononça beaucoup de paroles inutiles. On décida de faire quelque chose et, heureusement, on ne fit rien, sinon la seule chose utile : mettre la forêt sous la sauvegarde de l’État et interdire qu’on vienne y charbonner. Car il était impossible de n’être pas subjugué par la beauté de ces jeunes arbres en pleine santé. Et elle exerça son pouvoir de séduction sur le député lui-même.J’avais un ami parmi les capitaines forestiersqui était de la délégation. Je lui expliquai le mystère. Un jour de la semaine d’après, nousallâmes tous les deux à la recherche d’Elzéard Bouffier. Nous le trouvâmes en plein travail, à vingt kilomètres de l’endroit où avait eu lieu l’inspection.Ce capitaine forestier n’était pas mon amipour rien. Il connaissait la valeur des choses. Ilsut rester silencieux. J’offris les quelques œufs que j’avais apportés en présent. Nous partageâmes notre casse-croûte en trois et quelques heures passèrent dans la contemplation muette du paysage.Le côté d’où nous venions était couvert d’arbres de six à sept mètres de haut. Je me souvenais de l’aspect du pays en 1913 : le désert... Le travail paisible et régulier, l’air vif des hauteurs, la frugalité et surtout la sérénité de l’âme avaient donné à ce vieillard une santé presque solennelle. C’était un athlète de Dieu. Je me demandais combien d’hectares il allaitencore couvrir d’arbres.Avant de partir, mon ami fit simplement une brève suggestion à propos de certaines essences auxquelles le terrain d’ici paraissait devoir convenir. Il n’insista pas. « Pour la bonne raison, me dit-il après, que ce bonhomme en sait plus que moi. » Au bout d’une heure de marche – l’idée ayant fait son chemin en lui – il ajouta : « Il en sait beaucoup plus que tout le monde. Il a trouvé un fameux moyen d’être heureux ! »C’est grâce à ce capitaine que, non seulement la forêt, mais le bonheur de cet homme furent protégés. Il fit nommer trois gardes-forestiers pour cette protection et il les terrorisa de telle façon qu’ils restèrent insensibles à tous les pots-de-vin que les bûcherons pouvaient proposer.L’œuvre ne courut un risque grave que pendant la guerre de 1939. Les automobiles marchant alors au gazogène, on n’avait jamais assez de bois. On commença à faire des coupesdans les chênes de 1910, mais ces quartiers sontsi loin de tous réseaux routiers que l’entreprise se révéla très mauvaise au point de vuefinancier. On l’abandonna. Le berger n’avait rien vu. Il était à trente kilomètres de là, continuant paisiblement sa besogne, ignorant la guerre de 39 comme il avait ignoré la guerre de 14.J’ai vu Elzéard Bouffier pour la dernière fois en juin 1945. Il avait alors quatre-vingt-sept ans. J’avais donc repris la route du désert, mais maintenant, malgré le délabrement dans lequel la guerre avait laissé le pays, il y avait un car qui faisait le service entre la vallée de la Durance et la montagne. Je mis sur le compte de ce moyen de transport relativement rapide le fait que je ne reconnaissais plus les lieux de mes premières promenades. Il me semblait aussi que l’itinéraire me faisait passer par des endroits nouveaux. J’eus besoin d’un nom de village pour conclure que j’étais bien cependant dans cette région jadis en ruine et désolée. Le car medébarqua à Vergons. En 1913, ce hameau de dixà douze maisons avait trois habitants. Ils étaient sauvages, se détestaient, vivaient dechasse au piège : à peu près dans l’état physiqueet moral des hommes de la Préhistoire. Lesorties dévoraient autour d’eux les maisonsabandonnées. Leur condition était sans espoir. Il ne s’agissait pour eux que d’attendre la mort : situation qui ne prédispose guère aux vertus.Tout était changé. L’air lui-même. Au lieu des bourrasques sèches et brutales qui m’accueillaient jadis, soufflait une brise souple chargée d’odeurs. Un bruit semblable à celui de l’eau venait des hauteurs : c’était celui du vent dans les forêts. Enfin, chose plus étonnante, j’entendis le vrai bruit de l’eau coulant dans un bassin. Je vis qu’on avait fait une fontaine, qu’elle était abondante et, ce qui me toucha le plus, on avait planté près d’elle un tilleul qui pouvait déjà avoir dans les quatre ans, déjà gras, symbole incontestable d’une résurrection. Par ailleurs, Vergons portait les traces d’untravail pour l’entreprise duquel l’espoir étaitnécessaire. L’espoir était donc revenu. On avait déblayé les ruines, abattu les pans de mursdélabrés et reconstruit cinq maisons. Le hameau comptait désormais vingt-huit habitants dont quatre jeunes ménages. Les maisons neuves, crépies de frais, étaient entourées de jardins potagers où poussaient, mélangés mais alignés, les légumes et les fleurs, les choux et les rosiers, les poireaux et les gueules-de-loup, les céleris et les anémones. C’était désormais un endroit où l’on avait envie d’habiter.À partir de là, je fis mon chemin à pied. Laguerre dont nous sortions à peine n’avait paspermis l’épanouissement complet de la vie, mais Lazare était hors du tombeau. Sur les flans abaissés de la montagne, je voyais de petits champs d’orge et de seigle en herbe ; au fond des étroites vallées, quelques prairies verdissaient.Il n’a fallu que les huit ans qui nous séparentde cette époque pour que tout le paysresplendisse de santé et d’aisance. Surl’emplacement des ruines que j’avais vues en 1913, s’élèvent maintenant des fermes propres,bien crépies, qui dénotent une vie heureuse et confortable. Les vieilles sources, alimentées par les pluies et les neiges que retiennent les forêts, se sont remises à couler. On en a canalisé les eaux. À côté de chaque ferme, dans des bosquets d’érables, les bassins des fontaines débordent sur des tapis de menthes fraîches. Les villages se sont reconstruits peu à peu. Une population venue des plaines où la terre se vend cher s’est fixée dans le pays, y apportant de la jeunesse, du mouvement, de l’esprit d’aventure. On rencontre dans les chemins des hommes et des femmes bien nourris, des garçons et des filles qui savent rire et ont repris goût aux fêtes campagnardes. Si on compte l’ancienne population, méconnaissable depuis qu’elle vit avec douceur et les nouveaux venus, plus de dix mille personnes doivent leur bonheur à Elzéard Bouffier.Quand je réfléchis qu’un homme seul, réduità ses simples ressources physiques et morales, a suffi pour faire surgir du désert ce pays deChanaan, je trouve que, malgré tout, la condition humaine est admirable. Mais, quand je fais le compte de tout ce qu’il a fallu de constance dans la grandeur d’âme et d’acharnement dans la générosité pour obtenir ce résultat, je suis pris d’un immense respect pour ce vieux paysan sans culture qui a su mener à bien cette œuvre digne de Dieu.Elzéard Bouffier est mort paisiblement en 1947 à l’hospice de Banon.Cet ouvrage est le 49e publié dans la collection Classiques du 20e siècle par la Bibliothèque électronique du Québec. La Bibliothèque électronique du Québec est la propriété exclusive deJean-Yves Dupuis.。